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Beyrouth, paroles d'anciens : "On payait cinq piastres pour aller au centre-ville"

Les souvenirs d'Edward Khatchérian, vendeur de climatiseurs à Gemmayzé depuis 1966.

Ils ont connu le tramway, le train et les piastres. Les cafés qui portaient un nom unique, bien avant qu'ils ne deviennent un maillon d'une grande chaîne clonée. Ils ont connu le temps où des salades poussaient à Beyrouth, et où la police sanctionnait celui dont le climatiseur goutait sur le trottoir.

Quelques semaines durant, nous allons vous proposer une rencontre, en images, avec un ancien de Beyrouth. Une remontée dans le temps et ses souvenirs, comme une parenthèse.

Aujourd'hui, Edward Khatchérian, vendeur de climatiseurs à Gemmayzé depuis 1966.

 

 

 

Ils ont connu le tramway, le train et les piastres. Les cafés qui portaient un nom unique, bien avant qu'ils ne deviennent un maillon d'une grande chaîne clonée. Ils ont connu le temps où des salades poussaient à Beyrouth, et où la police sanctionnait celui dont le climatiseur goutait sur le trottoir.
Quelques semaines durant, nous allons vous proposer une rencontre, en images,...

commentaires (5)

Par contre on a oublié la distillerie d'arack et a chaque fois fois qu'on passait à côté on s'enivrait...quelle belle époque.Quel dommage... Je me rappelle très bien la patisserie Ramof ,les meilleurs éclairs au chocolat...

issa louis

20 h 01, le 16 mars 2016

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Commentaires (5)

  • Par contre on a oublié la distillerie d'arack et a chaque fois fois qu'on passait à côté on s'enivrait...quelle belle époque.Quel dommage... Je me rappelle très bien la patisserie Ramof ,les meilleurs éclairs au chocolat...

    issa louis

    20 h 01, le 16 mars 2016

  • ET CES CINQ PIASTRES N,AVAIENT PAS LES DEUX FACES ... QU,A AUJOURD,HUI LA MEME MONNAIE !!!

    LA LIBRE EXPRESSION

    15 h 26, le 16 mars 2016

  • Gemmayzé, la Sainte Famille, le College du Sacré-Coeur, Pigier, le "Karakon" en face, les vendeurs de Kaek/galettes et de Allita à la sortie des ecoles, sans oublier le plus important, les "karabij"! On achetait non pas les karabij meme mais plutot un coup de dé qui determinait le nombre de karabij gagnés, presque jamais six mais souvent 3 ou 4. Il faut egalement mentionner Omeira et sa specialité: le Rass Nifa yiam yiam yiam :) Ramof et ses gateaux d'un autre monde, et juste à coté notre belle eglise Santa. Quelques minutes de marche et on pouvait deguster les plus appétissants falafels au monde chez Freyha ou encore le meilleur Jellab qui fut, juste a coté. Mais avant d'y arriver on avait Assadour, une boutique de 3mX1.5m qui servait le meilleur Basterma jamais produit! Tout ceci sans bien sur oublier le plus important: La nourriture de l'esprit et de l'ame sous forme de 45-Tours achetés à la discotheque du Cinema Metropole, au fond a gauche, tenu par un jeune Armenien tout aussi amoureux de musique, Ara, et quand on etait vraiment riches, un 33-Tours en entier! Odessa des Bee Gees, Dylan, Aufray, Stones et le reste. Ahhhhh... P.S. Qu'a-t-on fait au Bon Dieu pour qu'on en soit arrivés là, aujourd'hui, en cette année de grace 2016?

    Fady Challita

    14 h 25, le 16 mars 2016

  • Rézzzâllâh ! Dommage que ce fichu Français Mandat n'avait pas perduré jusqu'en, e. g., 1973.... ou même 1975 !

    ANTOINE-SERGE KARAMAOUN

    13 h 46, le 16 mars 2016

  • Nostalgie quand tu nous tiens....! tu ravive les espoirs d'avenir....! quelle époque épique...!

    M.V.

    13 h 11, le 16 mars 2016

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