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Culture - Festival al-Bustan

Ces songes, musicaux, d’une nuit d’hiver

Photo Roland Ragi

C'est par un très lyrique hymne national libanais, joué par son orchestre – dirigé par Gianluca Marciano – que le Festival al-Bustan a donné hier soir le « la » de son édition 2016. Une édition qui se met au diapason du 400e anniversaire de la mort de Shakespeare et rend donc hommage au génie de l'auteur du Songe d'une nuit d'été. Un songe qui a emmené l'assistance de l'auditorium Émile Bustani dans les méandres d'un mariage entre les mots et les harmonies avec la composition éponyme de Felix Mendelssohn. Poèmes symphoniques sur Richard lll par Smetana, récités et chantés par Fiona Hymns et Sophie Goldrick, avec le chœur féminin de l'Université antonine, dirigé par le père Toufic Maatouk. Étaient présents : le chef du gouvernement Tammam Salam et son épouse, les ministres du Tourisme et de la Culture, respectivement Michel Pharaon et Rony Araïji, ainsi qu'un public de mélomanes heureux. Ce même programme sera joué demain soir. Le festival se poursuit jusqu'au 20 mars.

 

 

Pour mémoire
Nous sommes tous humains, trop (in)humains...

Mirna Boustani en paroles et en musique

C'est par un très lyrique hymne national libanais, joué par son orchestre – dirigé par Gianluca Marciano – que le Festival al-Bustan a donné hier soir le « la » de son édition 2016. Une édition qui se met au diapason du 400e anniversaire de la mort de Shakespeare et rend donc hommage au génie de l'auteur du Songe d'une nuit d'été. Un songe qui a emmené l'assistance de...

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