Rechercher
Rechercher

Liban - Sûreté générale

Abbas Ibrahim : La présidentielle, une affaire nationale

Le directeur de la Sûreté générale, le général Abbas Ibrahim, a estimé hier que la présidence de la République doit être une affaire nationale. « L'élection présidentielle doit être une affaire nationale qui ne concerne que le Parlement, indépendamment de toute partie internationale », a souligné le général Ibrahim dans le dernier numéro de la revue de la SG.
« Ce ne sont pas des puissances internationales qui ont élu nos députés, mais nous-mêmes. Les propos (qui suggèrent que la présidence libanaise est une affaire internationale) portent atteinte à la confiance accordée aux députés par le peuple », a-t-il ajouté. Le Liban est sans président depuis le 25 mai 2014. La prochaine séance électorale est prévue le 8 février.
« Nous ne nions pas le fait que (les puissances internationales) jouent un rôle au niveau de la présidentielle libanaise qui est une affaire stratégique essentielle, mais il est inacceptable qu'on nous tienne à l'écart au niveau de ce dossier », a conclu le général Ibrahim.

Le directeur de la Sûreté générale, le général Abbas Ibrahim, a estimé hier que la présidence de la République doit être une affaire nationale. « L'élection présidentielle doit être une affaire nationale qui ne concerne que le Parlement, indépendamment de toute partie internationale », a souligné le général Ibrahim dans le dernier numéro de la revue de la...

commentaires (3)

AFFAIRE NATIONALE... OUI ! MAIS OU SONT NOS PATRIOTES NATIONAUX... ACHETES PAR ET VENDUS A D,AUTRES PAYS QU,AU LEUR ?

LA LIBRE EXPRESSION

10 h 51, le 06 février 2016

Tous les commentaires

Commentaires (3)

  • AFFAIRE NATIONALE... OUI ! MAIS OU SONT NOS PATRIOTES NATIONAUX... ACHETES PAR ET VENDUS A D,AUTRES PAYS QU,AU LEUR ?

    LA LIBRE EXPRESSION

    10 h 51, le 06 février 2016

  • Quid de "l'affaire" du trafiquant Chïïte libéré de Tchéquie, entre autres, grâce à vos "soins" ? Était-ce aussi une "affaiiire" nationaaale ? Yâ wâââïyléééh !

    ANTOINE-SERGE KARAMAOUN

    09 h 52, le 06 février 2016

  • N'empêche qu'elle reste une affaire internationale... Dès qu'on propose un nom, l'Arabie met son veto, l'Iran fait de même, le reste de la planète aussi... Pour preuve (une de plus), l'article de Khalil Fleyhane dans l'OJ de ce matin... Si ce n'était qu'une affaire interne, les choses seraient peut-être (soyons optimistes...) moins compliquées...

    NAUFAL SORAYA

    08 h 24, le 06 février 2016

Retour en haut