Le patriarche Grégoire III Laham.
Le patriarche grec-catholique du Liban et de Syrie, Grégoire III Laham, a annoncé que « les Églises chrétiennes de Syrie refusent toute forme d'intervention étrangère dans ce pays » parce qu'elles ont la conviction que « la violence ne peut qu'engendrer la violence, et que les armes amèneront encore plus d'armes ». Il a ajouté que « toutes les opérations de paix doivent être placées sous le commandement des Syriens ». C'est depuis Taïwan où se déroulait une conférence sur l'immigration que le patriarche Laham s'est ainsi exprimé, à propos de la crise syrienne.
Le patriarche a également lancé un appel à tous les dirigeants internationaux et locaux, leur demandant de redoubler d'efforts pour protéger les civils en Syrie. Il a invité l'Église et la communauté internationale à préparer plutôt la conférence de paix de Genève III. « Ne détruisez pas la Syrie et ses enfants pour provoquer un changement de régime. Nous, chrétiens, aspirons à être les précurseurs du développement de notre société et croyons en notre nation, notre pays et notre président », a-t-il martelé.
Évoquant la présence chrétienne en Syrie, il a indiqué que celle-ci est importante, vu le rôle que jouent les chrétiens. « Leur présence n'aura aucun sens s'ils n'ont plus aucun rôle à jouer », a-t-il souligné, rappelant combien le pape Jean-Paul II avait insisté sur l'importance de ce rôle.
« La guerre en Syrie n'est pas une guerre civile, mais un afflux catastrophique de plus de 2 000 groupuscules étrangers qui ont pour objectif d'ébranler la société syrienne », a observé le patriarche, notant que, dans ce pays, chrétiens et musulmans ont vécu ensemble pacifiquement durant 1 435 ans. Et d'ajouter que la souffrance des chrétiens n'est pas due à l'animosité des musulmans envers eux. « Elle découle plutôt de mercenaires fanatiques qui se sont introduits en Syrie pour y pratiquer la violence envers chaque Syrien », a-t-il assuré. Et de préciser que « les millions de réfugiés qui ont fui la Syrie, musulmans ou chrétiens, prouvent que cette guerre n'est pas un conflit islamo-chrétien ».
Le patriarche grec-
catholique a par ailleurs constaté que « cette guerre a déjà fait plus de 100 000 morts et près de 8 millions de réfugiés », sans parler des enfants moralement perturbés, des villages détruits, des enlèvements contre rançon, des viols et des humiliations. Il a enfin conclu que des milliers d'habitations de chrétiens ont été détruites, de même que 91 églises, alors que 24 villages ont été vidés de leurs habitants chrétiens.
En taxant "d'hérésie" Cédraie ce qu’on avait célébré autrefois comme Révolution Syrienne, léhhééém 3éééme reconnait que le propre intérêt de son "ecclésia" coinnique lui commande de se soustraire aux gros dangers de l’insoumission du Christianisme 1er ; que, pour rétablir le calme dans sa "chère" sœur-syrie, yîîîh, il faut avant tout ramener au calme ce peuple Sunnite syrien en majorité Sain ; que, pour conserver intacte sa propre puissance ecclésiale, il lui faut briser sa propre puissance cléricale ; que lui léhhééém 3éééme, ne peut continuer à dominer ces Sains Sunnites de sa sœur mahééék et à jouir à l’aise des propriétés "Wakfs" ecclésiastiques Byzantino–mercantiles et de ce systèèème, qu'à la condition que ces ex-Byzantins Vaticanisés soient condamnés au même profond néant politique que ces Syriens Libres ou Sains Cédraies ; que, pour sauver sa tirelire-agnelle bääSSdiotiste und Per(s)cée, il doit absolument remplacer sa "couronne" de lauriers par une en épines, et que le zoûlfikkâr qui devait le protéger est fatalement devenu une épée de Damoclès suspendue au-dessus de sa grosse et/ou kifkif mini-"mitre". En réalité, léhhééém strict Collabo coinnique se montre dans les faits si improductif, "chréti(en)nement" parlant yâ wâïyléééh que, e.g, quand il ne fait pas œuvre de "pure" réaction ou strict archaïsme, il est, en effet, profondément frappé d'une incurable et définitive "stérilité" coinnique.
18 h 25, le 25 septembre 2014