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Liban

Aucun appui à la proposition du bloc aouniste

La proposition de loi présentée par le bloc du Changement et de la Réforme pour l'élection du président de la République au suffrage universel s'est heurtée aux critiques du 14 Mars, d'une part, et aux réserves du 8 Mars, d'autre part. Ainsi, le député Yassine Jaber, membre du bloc berryste, allié du bloc du général Michel Aoun, a estimé que sa proposition « nécessite une étude précise ». Il s'est interrogé surtout sur la pertinence de retarder la présidentielle jusqu'à ce que la Constitution soit amendée.
Pour le 14 Mars, la proposition est « inégalitaire pour les citoyens », selon les termes du député du bloc du Futur Ahmad Fatfat. Elle « sabote la parité qu'elle prétend protéger », a relevé pour sa part le député Kataëb Élie Marouni. Pour le député des Forces libanaises Fadi Karam, « le bloc du Changement et de la Réforme amplifie le danger et entrave toute solution non conforme avec l'agenda de l'axe dont il relève ».
L'ancien ministre Nazem
el-Khoury a affirmé à l'agence al-Markaziya « l'impossibilité constitutionnelle et pratique de mettre en œuvre la proposition aouniste ». « Si, par ailleurs, le fort, tel que l'entend le général Michel Aoun, n'est pas élu, qu'il mette sa force au service du pays », a conclu l'ancien conseiller du président sortant Michel Sleiman.

La proposition de loi présentée par le bloc du Changement et de la Réforme pour l'élection du président de la République au suffrage universel s'est heurtée aux critiques du 14 Mars, d'une part, et aux réserves du 8 Mars, d'autre part. Ainsi, le député Yassine Jaber, membre du bloc berryste, allié du bloc du général Michel Aoun, a estimé que sa proposition « nécessite une étude...

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