Jusqu’ici, l’organisation basée aux Pays-Bas a levé 10 millions d’euros pour éliminer l’arsenal chimique de Damas. Mais ce démantèlement pourrait atteindre plusieurs dizaines ou centaines de millions de dollars selon les experts, en fonction de l’endroit et de la méthode d’élimination. L’un des principaux coûts de l’opération sera l’acheminement, probablement par bateau, des armes chimiques loin de la zone de conflit. Des discussions sont en cours avec l’Albanie, la Belgique et un pays scandinave, a-t-on appris auprès de deux sources. Les États-Unis sont pour l’instant le principal contributeur à la mission, avec six millions de dollars. La Grande-Bretagne, le Canada, l’Allemagne, les Pays-Bas et la Suisse ont également participé au financement. Le Royaume-Uni a promis trois millions de dollars, tandis que la Russie, la France et la Chine fourniront des experts et du personnel technique.
Moyen Orient et Monde
La mission de l’OIAC n’est financée que pour novembre
OLJ / le 06 novembre 2013 à 00h15
Jusqu’ici, l’organisation basée aux Pays-Bas a levé 10 millions d’euros pour éliminer l’arsenal chimique de Damas. Mais ce démantèlement pourrait atteindre plusieurs dizaines ou centaines de millions de dollars selon les experts, en fonction de l’endroit et de la méthode d’élimination. L’un des principaux coûts de l’opération sera l’acheminement, probablement par bateau, des armes chimiques loin de la zone de conflit. Des discussions sont en cours avec l’Albanie, la Belgique et un pays scandinave, a-t-on appris auprès de deux sources. Les États-Unis sont pour l’instant le principal contributeur à la mission, avec six millions de dollars. La Grande-Bretagne, le Canada, l’Allemagne, les Pays-Bas et la Suisse ont également participé au financement. Le Royaume-Uni a promis trois millions de dollars, tandis que la Russie, la France et la Chine fourniront des experts et du personnel technique.