Le chef du PSP, Walid Joumblatt, a appelé hier « certaines forces politiques » du pays à ne pas commettre « des erreurs de calcul » et à ne pas miser sur des « bouleversements des équilibres internes ».
S’exprimant dans le cadre de son intervention hebdomadaire à l’organe de son parti, al-Anba’, M. Joumblatt a ajouté : « Il faudra envisager le dossier gouvernemental avec le plus possible de souplesse et de réalisme, et ce d’autant plus que le poids des problèmes sociaux et économiques s’est aggravé. »
« Ces problèmes touchent les citoyens libanais bien plus que ne les touchent la question des tiers (de blocage) ou des quarts et la répartition des portefeuilles au sein du gouvernement », a-t-il estimé.
Sur un autre plan, M. Joumblatt s’est félicité de la mise en œuvre du déploiement des forces légales dans la banlieue sud, soulignant qu’il n’y a « pas d’alternative à l’État comme parapluie de protection pour tous ». Cependant, a poursuivi le chef du PSP, « le renforcement de la sécurité primaire ne se fait pas uniquement à coup de mesures sécuritaires exceptionnelles, mais aussi par l’instauration d’un climat politique adéquat susceptible de favoriser la maîtrise de l’état de sécurité ».
Selon lui, il faut pour cela sortir de l’état de divorce politique sans précédent « que connaît le pays et par la pacification politique et médiatique ».
S’exprimant dans le cadre de son intervention hebdomadaire à l’organe de son parti, al-Anba’, M. Joumblatt a ajouté : « Il faudra envisager le dossier gouvernemental avec le plus possible de souplesse et de réalisme, et ce d’autant plus que le poids des problèmes sociaux et économiques s’est aggravé. »
« Ces problèmes touchent les citoyens libanais bien plus que ne les touchent la question des tiers (de blocage) ou des quarts et la répartition des portefeuilles au sein du gouvernement », a-t-il estimé.
Sur un autre plan, M. Joumblatt s’est félicité de la mise en œuvre du déploiement des forces légales dans la banlieue sud, soulignant qu’il n’y a « pas d’alternative à l’État comme parapluie de protection pour tous ». Cependant, a poursuivi le chef du PSP, « le renforcement de la sécurité primaire ne se fait pas uniquement à coup de mesures sécuritaires exceptionnelles, mais aussi par l’instauration d’un climat politique adéquat susceptible de favoriser la maîtrise de l’état de sécurité ».
Selon lui, il faut pour cela sortir de l’état de divorce politique sans précédent « que connaît le pays et par la pacification politique et médiatique ».
Le chef du PSP, Walid Joumblatt, a appelé hier « certaines forces politiques » du pays à ne pas commettre « des erreurs de calcul » et à ne pas miser sur des « bouleversements des équilibres internes ».S’exprimant dans le cadre de son intervention hebdomadaire à l’organe de son parti, al-Anba’, M. Joumblatt a ajouté : « Il faudra envisager le dossier gouvernemental avec...
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