Le ministre sortant de l’Énergie et de l’Eau Gebran Bassil a lancé hier sur son compte Twitter une campagne, doublée d’une conférence de presse, pour faire signer par le président de la République Michel Sleiman et le Premier ministre démissionnaire Nagib Mikati deux décrets indispensables au lancement de l’exploitation des ressources naturelles en gaz et en pétrole au large du pays.
« Aidez-nous à demander au président, au chef du gouvernement et au Conseil des ministres de signer le décret relatif aux ressources naturelles en gaz et en pétrole via la campagne Signe pour qu’on avance », écrit M. Bassil, ajoutant que deux décrets essentiels à la poursuite des travaux n’ont toujours pas été signés.
Pour que les sociétés puissent présenter une offre, deux décrets doivent être approuvés par le gouvernement. Le premier concerne la délimitation des blocs, le second les modalités du partenariat entre la société et l’État libanais.
Le 1er mai dernier, M. Bassil avait déclaré que « si les décrets ne sont pas adoptés par le nouveau gouvernement avant le 2 septembre, nous avons le droit de reporter la date de clôture de l’appel d’offres ». Le problème étant que Tammam Salam n’a toujours pas réussi à former de gouvernement.
Tout retard dans la signature de ces décrets pourrait avoir de sévères répercussions sur le secteur, a martelé le ministre Bassil. Toutefois, selon le responsable, même si la date limite du 2 septembre pour la signature des décrets a été dépassée, « le Conseil des ministres peut toujours se réunir cette semaine pour approuver la signature de ces décrets ».
« Nos ressources naturelles en gaz et en pétrole ont été négligées pendant des décennies, malgré la publication de plusieurs études qui datent des années 1940 et qui démontrent l’existence de quantités considérables d’hydrocarbures » offshore, a-t-il poursuivi. « Pourquoi notre pays est-il intentionnellement resté un importateur de ces ressources au lieu de devenir un exportateur ? s’interroge alors le ministre. Qui profite de cette situation ? »
« Aidez-nous à demander au président, au chef du gouvernement et au Conseil des ministres de signer le décret relatif aux ressources naturelles en gaz et en pétrole via la campagne Signe pour qu’on avance », écrit M. Bassil, ajoutant que deux décrets essentiels à la poursuite des travaux n’ont toujours pas été signés.
Pour que les sociétés puissent présenter une offre, deux décrets doivent être approuvés par le gouvernement. Le premier concerne la délimitation des blocs, le second les modalités du partenariat entre la société et l’État libanais.
Le 1er mai dernier, M. Bassil avait déclaré que « si les décrets ne sont pas adoptés par le nouveau gouvernement avant le 2 septembre, nous avons le droit de reporter la date de clôture de l’appel d’offres ». Le problème étant que Tammam Salam n’a toujours pas réussi à former de gouvernement.
Tout retard dans la signature de ces décrets pourrait avoir de sévères répercussions sur le secteur, a martelé le ministre Bassil. Toutefois, selon le responsable, même si la date limite du 2 septembre pour la signature des décrets a été dépassée, « le Conseil des ministres peut toujours se réunir cette semaine pour approuver la signature de ces décrets ».
« Nos ressources naturelles en gaz et en pétrole ont été négligées pendant des décennies, malgré la publication de plusieurs études qui datent des années 1940 et qui démontrent l’existence de quantités considérables d’hydrocarbures » offshore, a-t-il poursuivi. « Pourquoi notre pays est-il intentionnellement resté un importateur de ces ressources au lieu de devenir un exportateur ? s’interroge alors le ministre. Qui profite de cette situation ? »
Le ministre sortant de l’Énergie et de l’Eau Gebran Bassil a lancé hier sur son compte Twitter une campagne, doublée d’une conférence de presse, pour faire signer par le président de la République Michel Sleiman et le Premier ministre démissionnaire Nagib Mikati deux décrets indispensables au lancement de l’exploitation des ressources naturelles en gaz et en pétrole au large du...
"UNE CAMPAGNE DE PRESSION" CERTES, MAIS.... "D É G O N F L É E" !
16 h 22, le 05 septembre 2013