Il semblerait que les salafistes et autres forces extrémistes de la ville de Tripoli se soient sentis directement visés par le double attentat d’hier. Des individus armés ont vite fait d’exprimer leur colère dans les rues de la ville après les deux explosions, certains d’entre eux s’emparant de plusieurs véhicules de l’armée. Les tirs ont repris dans toute la ville, menaçant de rallumer les combats entre les deux quartiers rivaux de Bab el-Tebbané (sunnites)et Jabal Mohsen (alaouites).
Dans un entretien accordé à NowLebanon, un dirigeant islamiste a affirmé que « les salafistes sont les premiers à être visés par cet attentat, puisque les deux imams des deux mosquées concernées sont des symboles salafistes ».Un autre responsable du même bord a affirmé que « les explosions traduisent les propos tenus par le bloc de la Fidélité à la résistance dans lesquels il a accusé les forces salafistes, soutenues par une force régionale et par quelques forces du 14 Mars, d’être derrière l’attentat de Roueiss ».
Dans un entretien accordé à NowLebanon, un dirigeant islamiste a affirmé que « les salafistes sont les premiers à être visés par cet attentat, puisque les deux imams des deux mosquées concernées sont des symboles salafistes ».Un autre responsable du même bord a affirmé que « les explosions traduisent les propos tenus par le bloc de la Fidélité à la résistance dans lesquels il a accusé les forces salafistes, soutenues par une force régionale et par quelques forces du 14 Mars, d’être derrière l’attentat de Roueiss ».
Il semblerait que les salafistes et autres forces extrémistes de la ville de Tripoli se soient sentis directement visés par le double attentat d’hier. Des individus armés ont vite fait d’exprimer leur colère dans les rues de la ville après les deux explosions, certains d’entre eux s’emparant de plusieurs véhicules de l’armée. Les tirs ont repris dans toute la ville, menaçant de...
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