Le parcours du cofondateur d’Apple.
Jobs,
de Joshua Michael Stern
Avec Ashton Kutcher
Un an après le décès de Steve Jobs, cofondateur de Apple et visionnaire absolu dans le domaine de l’électronique, le biopic sort dans les salles françaises ainsi que libanaises après des débuts décevants aux États-Unis. En effet, ce film qui retrace une vingtaine d’années de la vie de Steve Jobs, de la création d’Apple dans un garage californien à son retour triomphant, en 1996, à la tête de l’entreprise qu’il avait créée avant d’en être écarté, a été accueilli tièdement lors de sa présentation à Sundance. Ce film lance par ailleurs la course aux biopics sur ce même personnage. Ainsi le projet qui n’en est encore qu’au stade de l’écriture du scénario a été confié à Aaron Sorkin, l’auteur oscarisé du film de David Fincher sur Facebook The Social Network. Mais laissons de côté les querelles intestines de production pour se concentrer sur la construction du film.
Si Jobs n’enchante pas, voire ennuie, c’est parce que la réalisation est faible. Mauvais plans, montage inintéressant et scénario défaillant. Par ailleurs, malgré les efforts entrepris d’Ashton Kutcher, son interprétation se limite à un simple mimétisme. L’acteur de 35 ans, qui se dit « geek », a en effet visionné des centaines d’heures de vidéos de Steve Jobs afin de reproduire sa démarche et sa diction. On dit même qu’il a poussé le sens du détail jusqu’à adopter le très strict régime alimentaire de Steve Jobs, « en ne mangeant et buvant que des fruits et du jus de carotte pendant un mois ». Est-ce pour autant qu’il devient un bon acteur ? Kutcher n’a pas réussi à nous convaincre et on attend avec impatience le prochain biopic qui pourrait mieux rendre hommage au personnage.
Grand Cinemas ABC Achrafieh, Dbayeh/Concorde, Cinemacity, Empire Première/ Planète Abraj, Vox B.C.Center, Cinemall
de Joshua Michael Stern
Avec Ashton Kutcher
Un an après le décès de Steve Jobs, cofondateur de Apple et visionnaire absolu dans le domaine de l’électronique, le biopic sort dans les salles françaises ainsi que libanaises après des débuts décevants aux États-Unis. En effet, ce film qui retrace une vingtaine d’années de la vie de Steve Jobs, de la création d’Apple dans un garage californien à son retour triomphant, en 1996, à la tête de l’entreprise qu’il avait créée avant d’en être écarté, a été accueilli tièdement lors de sa présentation à Sundance. Ce film lance par ailleurs la course aux biopics sur ce même personnage. Ainsi le projet qui n’en est encore qu’au stade de l’écriture du scénario a été confié à Aaron Sorkin, l’auteur oscarisé du film de David Fincher sur Facebook The Social Network. Mais laissons de côté les querelles intestines de production pour se concentrer sur la construction du film.
Si Jobs n’enchante pas, voire ennuie, c’est parce que la réalisation est faible. Mauvais plans, montage inintéressant et scénario défaillant. Par ailleurs, malgré les efforts entrepris d’Ashton Kutcher, son interprétation se limite à un simple mimétisme. L’acteur de 35 ans, qui se dit « geek », a en effet visionné des centaines d’heures de vidéos de Steve Jobs afin de reproduire sa démarche et sa diction. On dit même qu’il a poussé le sens du détail jusqu’à adopter le très strict régime alimentaire de Steve Jobs, « en ne mangeant et buvant que des fruits et du jus de carotte pendant un mois ». Est-ce pour autant qu’il devient un bon acteur ? Kutcher n’a pas réussi à nous convaincre et on attend avec impatience le prochain biopic qui pourrait mieux rendre hommage au personnage.
Grand Cinemas ABC Achrafieh, Dbayeh/Concorde, Cinemacity, Empire Première/ Planète Abraj, Vox B.C.Center, Cinemall
Jobs,de Joshua Michael SternAvec Ashton Kutcher Un an après le décès de Steve Jobs, cofondateur de Apple et visionnaire absolu dans le domaine de l’électronique, le biopic sort dans les salles françaises ainsi que libanaises après des débuts décevants aux États-Unis. En effet, ce film qui retrace une vingtaine d’années de la vie de Steve Jobs, de la création d’Apple dans un...
