Le chef du CPL, hier,au cours de la réunion hebdomadaire de sonbloc à Rabieh. Photo Nasser Trabulsi
À l’issue de la réunion hebdomadaire du bloc du Changement et de la Réforme qu’il préside, le député Michel Aoun a critiqué le « surplace au niveau de la formation du gouvernement », affirmant ne pas connaître les raisons de cet atermoiement. « Des incidents dangereux se déroulent dans le pays, provoqués par des responsables qui imposent leurs conditions propres les uns aux autres. » « Toute condition posée se voit immédiatement opposer une condition contraire », a-t-il encore déploré. Selon lui, les initiatives avancées pour assurer la formation du prochain gouvernement ne sont que pure « intoxication médiatique ». « Les politiques mentent, et c’est pourquoi j’appelle le peuple à rejoindre la Campagne du Liban pour tous, ça suffit de mentir. » M. Aoun a reçu hier une délégation de cette campagne.
« Nous nous trouvons aujourd’hui en dehors du pouvoir, et une majorité travaille contre nous, quand bien même nous sommes les premiers à présenter des initiatives et des solutions lorsque nous nous trouvons au pouvoir », a ajouté le général Aoun. « Depuis le début du processus de formation du cabinet, sur la base d’une représentation proportionnelle au poids des blocs parlementaires, chacun semble vouloir fixer la proportion qui lui convient », a-t-il affirmé, estimant que « les politiques agissent comme des enfants, et non comme des adultes ». Il s’est en tout cas montré favorable à l’idée d’un gouvernement de pôles politiques.
Michel Aoun a mis en garde par ailleurs contre la gravité de la situation économique. « Le pays traverse une crise économique, et le risque est grand d’un retour à un budget sur la base du douzième provisoire, qui se fonde sur les chiffres du dernier budget voté au Parlement, à savoir le budget de 2005. » Le Liban est « en crise », a-t-il encore insisté, mettant en garde contre « une réédition des expériences de 2006 à 2010, passées sans vote de budget à cause de la paralysie du Parlement ».
S’agissant de la présence des réfugiés syriens au Liban, il a estimé que ce « grand dossier, pris en charge par des têtes vides, reste sans solution ».
Toute cette situation serait liée au final à « l’irresponsabilité absolue de certaines parties libanaises dans la gestion du pays». « Nous n’avons pas de gouvernement et le Parlement est paralysé (...) les députés ne font pas leur travail », a-t-il conclu sur un ton d’amertume.
« Nous nous trouvons aujourd’hui en dehors du pouvoir, et une majorité travaille contre nous, quand bien même nous sommes les premiers à présenter des initiatives et des solutions lorsque nous nous trouvons au pouvoir », a ajouté le général Aoun. « Depuis le début du processus de formation du cabinet, sur la base d’une représentation proportionnelle au poids des blocs parlementaires, chacun semble vouloir fixer la proportion qui lui convient », a-t-il affirmé, estimant que « les politiques agissent comme des enfants, et non comme des adultes ». Il s’est en tout cas montré favorable à l’idée d’un gouvernement de pôles politiques.
Michel Aoun a mis en garde par ailleurs contre la gravité de la situation économique. « Le pays traverse une crise économique, et le risque est grand d’un retour à un budget sur la base du douzième provisoire, qui se fonde sur les chiffres du dernier budget voté au Parlement, à savoir le budget de 2005. » Le Liban est « en crise », a-t-il encore insisté, mettant en garde contre « une réédition des expériences de 2006 à 2010, passées sans vote de budget à cause de la paralysie du Parlement ».
S’agissant de la présence des réfugiés syriens au Liban, il a estimé que ce « grand dossier, pris en charge par des têtes vides, reste sans solution ».
Toute cette situation serait liée au final à « l’irresponsabilité absolue de certaines parties libanaises dans la gestion du pays». « Nous n’avons pas de gouvernement et le Parlement est paralysé (...) les députés ne font pas leur travail », a-t-il conclu sur un ton d’amertume.
À l’issue de la réunion hebdomadaire du bloc du Changement et de la Réforme qu’il préside, le député Michel Aoun a critiqué le « surplace au niveau de la formation du gouvernement », affirmant ne pas connaître les raisons de cet atermoiement. « Des incidents dangereux se déroulent dans le pays, provoqués par des responsables qui imposent leurs conditions propres les uns aux...
Le roi des menteurs traite tous les autres de tel. "Darabné ou baka saba2né ou chtaka! Il était au pouvoir après un coup d’état et aujourd'hui il se charge de bloquer la formation du gouvernement en cherchant a imposer des propositions qui ne doivent pas être. Ses ministres n'ont fait que des c.... pendent un an et demi et cela suffit. S'il est honnête dans sa tristesse, qu'il commence par accepter de n'avoir que 3 ministres au gouvernement, qu'il lâche le Hezbollah, stratégiquement ou pas, et arrête de le couvrir bêtement, et s'affaire a se mettre d'accord sur une loi électorale intelligente avec les autres partis Chrétiens. Ceci fait et dit, le Liban pourra alors avancer vers un avenir meilleur. Sinon, il ne fait que l'enterrer et le conduire vers de nouvelles catastrophes dues essentiellement a son comportement imbécile tout comme en 1989 et 1990.
12 h 53, le 07 août 2013