De gauche à droite : Pascal Watwat (président de l’Amicale des étudiants de la FSE), Joanna Saadé (déléguée de la deuxième année de master à la FSE) et Georges-Michel Abdessater (vice-président de l’Amicale des étudiants de la FSE)
Enthousiastes, les membres de l’Amicale des étudiants de la faculté des sciences de l’économie (FSE) de l’USJ le sont encore. Comme au tout début. Lorsque, après les élections estudiantines, soutenus par un groupe d’étudiants bénévoles aussi motivés qu’eux, ils décident d’organiser au sein de leur campus, tous les mercredis, des manifestations culturelles, sportives, éducatives ou sociales, histoire de rassembler les étudiants autour d’un rendez-vous hebdomadaire qu’ils attendraient avec intérêt de semaine en semaine. « C’est la seconde année que je préside l’Amicale de la FSE. Notre expérience, au cours des mois passés, nous a appris que les évènements récurrents, qui deviennent traditionnels, sont les plus réussis », indique Pascal Watwat qui confie que l’idée de baptiser l’évènement du mercredi « Thank God, it is Wednesday ! » (TGW) lui est venue du nom du fameux restaurant « TGIF » – « Thank God, it’s Friday ».
Privilégier l’esprit de cohésion entre les étudiants
« Nous avons choisi la journée du mercredi pour nos manifestations car ce jour-là, le campus de l’innovation et du sport (CIS) grouille d’étudiants de différentes facultés : celle des sciences économiques, l’Institut de psychomotricité, l’Institut d’orthophonie et l’Institut de physiothérapie », poursuit-il.
Outre l’éducation ou le divertissement, les TGW visent à tisser des liens entre les étudiants. « Pour notre premier TGW qui coïncidait avec la Saint-Valentin, nous avons organisé des rencontres express (speed dating), qui consistent en des rencontres rapides en série, deux par deux, entre des étudiantes toujours assises et des étudiants qui, au bout de quelques minutes, changent de place à la rencontre de l’étudiante suivante. Lorsque le garçon plaît à la fille, elle lui remet une rose. Et le garçon qui récolte le plus de roses gagne un dîner pour deux », explique Rita Fleyfel, chargée des affaires sociales à l’amicale, avant d’ajouter : « À mon avis, ce fut l’un des plus beaux évènements de cette année. »
Depuis la « Journée amoureuse » au mois de février, les TGW se multiplient et ne se ressemblent pas. « Nous avons proposé des conférences informatives intéressantes, notamment avec la princesse Hayat Arslane, à l’occasion de la Journée internationale de la femme, et avec M. Joe Abi Harb qui, lui, nous a parlé d’apiculture et nous a présenté son miel sans saccarose », précise Pascal.
Convaincus de l’importance des TGW pour stimuler la vie étudiante, les membres de l’Amicale de la FSE et les étudiants bénévoles s’activent d’arrache-pied pour faire de leurs évènements des réussites. Ils organisent des tournois de basket-ball, de futsal, une journée crêpes, un dîner traditionnel libanais suivi d’une soirée folklorique qu’ils réalisent en partenariat avec les amicales de l’Institut de physiothérapie et de l’ESIB, ainsi qu’une rencontre islamo-chrétienne, accompagnée d’une exposition de photographies, pour promouvoir la cohabitation pacifique entre les deux religions. « Les photos montraient des églises et des mosquées, des gens de différentes confessions priant ensemble et d’autres scènes pacifiques. Notre objectif à travers cet événement : favoriser un rapprochement entre les étudiants de différentes confessions », souligne Abdo Younès, étudiant en deuxième année d’économie et membre du comité de communication de l’Amicale de la FSE.
Aider les étudiants à réussir
« Nous voulons aussi, à travers les TGW, soutenir les étudiants dans leurs apprentissages pour qu’ils réussissent à l’université. Dans cet objectif, deux semaines avant les examens partiels, nous avons planifié des groupes d’études au campus, réunissant des étudiants volontaires prêts à aider leurs camarades en difficulté et des étudiants qui désirent recevoir un soutien pédagogique avant les évaluations », explique Romy Dib, une des étudiants bénévoles.
Pour le dernier TGW, tenu le mercredi 29 mai, les organisateurs ont choisi un double thème : « Verte, la FSE » et « Extrême FSE ». Abdo Younès, qui est également président du club écologique, explique : « Pour métamorphoser notre campus tout en béton, le verdoyer et l’embellir, nous y avons disposé quinze plantes, équivalentes au nombre des groupes de classe de la faculté. Les étudiants de chaque groupe sont chargés de prendre soin de la plante qui leur est attribuée. »
Qu’en est-il de l’Extrême FSE ? Rita répond avec fierté : « Nous avons organisé au CIS des activités de sport extrême : rappel sur les murs du bloc C et tyrolienne du bloc B à l’esplanade du campus, une première à la FSE. De nombreux étudiants, mais également des enseignants et des membres du personnel, ont participé avec enthousiasme aux manifestations proposées. »
Pour conclure, Pascal souligne : « Chacun des évènements avait un goût particulier et exceptionnel. La soirée folklorique par exemple était pleine d’énergie et de défoulement. Ce qui s’est répercuté positivement sur les étudiants et sur l’ambiance générale au campus. »
Privilégier l’esprit de cohésion entre les étudiants
« Nous avons choisi la journée du mercredi pour nos manifestations car ce jour-là, le campus de l’innovation et du sport (CIS) grouille d’étudiants de différentes facultés : celle des sciences économiques, l’Institut de psychomotricité, l’Institut d’orthophonie et l’Institut de physiothérapie », poursuit-il.
Outre l’éducation ou le divertissement, les TGW visent à tisser des liens entre les étudiants. « Pour notre premier TGW qui coïncidait avec la Saint-Valentin, nous avons organisé des rencontres express (speed dating), qui consistent en des rencontres rapides en série, deux par deux, entre des étudiantes toujours assises et des étudiants qui, au bout de quelques minutes, changent de place à la rencontre de l’étudiante suivante. Lorsque le garçon plaît à la fille, elle lui remet une rose. Et le garçon qui récolte le plus de roses gagne un dîner pour deux », explique Rita Fleyfel, chargée des affaires sociales à l’amicale, avant d’ajouter : « À mon avis, ce fut l’un des plus beaux évènements de cette année. »
Depuis la « Journée amoureuse » au mois de février, les TGW se multiplient et ne se ressemblent pas. « Nous avons proposé des conférences informatives intéressantes, notamment avec la princesse Hayat Arslane, à l’occasion de la Journée internationale de la femme, et avec M. Joe Abi Harb qui, lui, nous a parlé d’apiculture et nous a présenté son miel sans saccarose », précise Pascal.
Convaincus de l’importance des TGW pour stimuler la vie étudiante, les membres de l’Amicale de la FSE et les étudiants bénévoles s’activent d’arrache-pied pour faire de leurs évènements des réussites. Ils organisent des tournois de basket-ball, de futsal, une journée crêpes, un dîner traditionnel libanais suivi d’une soirée folklorique qu’ils réalisent en partenariat avec les amicales de l’Institut de physiothérapie et de l’ESIB, ainsi qu’une rencontre islamo-chrétienne, accompagnée d’une exposition de photographies, pour promouvoir la cohabitation pacifique entre les deux religions. « Les photos montraient des églises et des mosquées, des gens de différentes confessions priant ensemble et d’autres scènes pacifiques. Notre objectif à travers cet événement : favoriser un rapprochement entre les étudiants de différentes confessions », souligne Abdo Younès, étudiant en deuxième année d’économie et membre du comité de communication de l’Amicale de la FSE.
Aider les étudiants à réussir
« Nous voulons aussi, à travers les TGW, soutenir les étudiants dans leurs apprentissages pour qu’ils réussissent à l’université. Dans cet objectif, deux semaines avant les examens partiels, nous avons planifié des groupes d’études au campus, réunissant des étudiants volontaires prêts à aider leurs camarades en difficulté et des étudiants qui désirent recevoir un soutien pédagogique avant les évaluations », explique Romy Dib, une des étudiants bénévoles.
Pour le dernier TGW, tenu le mercredi 29 mai, les organisateurs ont choisi un double thème : « Verte, la FSE » et « Extrême FSE ». Abdo Younès, qui est également président du club écologique, explique : « Pour métamorphoser notre campus tout en béton, le verdoyer et l’embellir, nous y avons disposé quinze plantes, équivalentes au nombre des groupes de classe de la faculté. Les étudiants de chaque groupe sont chargés de prendre soin de la plante qui leur est attribuée. »
Qu’en est-il de l’Extrême FSE ? Rita répond avec fierté : « Nous avons organisé au CIS des activités de sport extrême : rappel sur les murs du bloc C et tyrolienne du bloc B à l’esplanade du campus, une première à la FSE. De nombreux étudiants, mais également des enseignants et des membres du personnel, ont participé avec enthousiasme aux manifestations proposées. »
Pour conclure, Pascal souligne : « Chacun des évènements avait un goût particulier et exceptionnel. La soirée folklorique par exemple était pleine d’énergie et de défoulement. Ce qui s’est répercuté positivement sur les étudiants et sur l’ambiance générale au campus. »
Enthousiastes, les membres de l’Amicale des étudiants de la faculté des sciences de l’économie (FSE) de l’USJ le sont encore. Comme au tout début. Lorsque, après les élections estudiantines, soutenus par un groupe d’étudiants bénévoles aussi motivés qu’eux, ils décident d’organiser au sein de leur campus, tous les mercredis, des manifestations culturelles, sportives,...