« Comment pouvez-vous accuser certains d’avoir dépassé la ligne rouge sachant que lorsque vous conviez les participants à la table de dialogue, on vous répond par le lancement du drone Ayoub (envoyé au-dessus d’Israël par le Hezbollah), pour vous signifier que c’est là la seule stratégie de défense est en vigueur et aucune autre. » C’est en ces termes que le prédicateur salafiste sunnite, cheikh Ahmad el-Assir, a réagi aux récents propos du chef de l’État, tenus devant le conseil de l’ordre des journalistes. Le dignitaire sunnite s’exprimait lors d’un rassemblement à la mosquée al-Baha, à Saïda, auquel ont pris part plusieurs dizaines de ses partisans. Au milieu d’un cordon sécuritaire désormais renforcé pour ce type de rassemblement, pour empêcher notamment les protestataires de bloquer les routes, al-Assir a promis « une action-surprise » demain dimanche.
S’exprimant devant la foule de supporters, le prédicateur de la mosquée Bilal ben Rabah a juré qu’il n’arrêtera pas sa « intifada », qui, a-t-il dit, « se poursuivra avec ou sans moi ».
À l’issue de la prière, il a dénoncé, une fois de plus, le comportement de l’État et ses institutions sécuritaires, judiciaires et politiques. Rappelant que lui et ses partisans ne possèdent que « des armes personnelles pour se défendre », et qualifiant son mouvement de « modéré », il a toutefois promis « une tempête », si ses adversaires politiques continuent de faire comme « si nous n’existions pas, ou que nous n’avons aucune importance ».
À son tour, cheikh Abdallah Bakri, qui a récité la prière du vendredi, s’en est en pris à l’armée, affirmant son refus de voir la ville de Saïda se transformer en une caserne.
Par ailleurs, et à l’issue d’une réunion conjointe à Saïda entre les responsables du courant du Futur et ceux de la Jamaa islamiya au Liban-Sud, à laquelle a notamment pris part la députée Bahia Hariri, les participants ont mis en exergue leur attachement aux institutions de l’État, « seules habilités à préserver la sécurité et la stabilité dans la ville », soulignant leur refus des armes et des menaces d’où qu’elles viennent.
S’exprimant devant la foule de supporters, le prédicateur de la mosquée Bilal ben Rabah a juré qu’il n’arrêtera pas sa « intifada », qui, a-t-il dit, « se poursuivra avec ou sans moi ».
À l’issue de la prière, il a dénoncé, une fois de plus, le comportement de l’État et ses institutions sécuritaires, judiciaires et politiques. Rappelant que lui et ses partisans ne possèdent que « des armes personnelles pour se défendre », et qualifiant son mouvement de « modéré », il a toutefois promis « une tempête », si ses adversaires politiques continuent de faire comme « si nous n’existions pas, ou que nous n’avons aucune importance ».
À son tour, cheikh Abdallah Bakri, qui a récité la prière du vendredi, s’en est en pris à l’armée, affirmant son refus de voir la ville de Saïda se transformer en une caserne.
Par ailleurs, et à l’issue d’une réunion conjointe à Saïda entre les responsables du courant du Futur et ceux de la Jamaa islamiya au Liban-Sud, à laquelle a notamment pris part la députée Bahia Hariri, les participants ont mis en exergue leur attachement aux institutions de l’État, « seules habilités à préserver la sécurité et la stabilité dans la ville », soulignant leur refus des armes et des menaces d’où qu’elles viennent.
« Comment pouvez-vous accuser certains d’avoir dépassé la ligne rouge sachant que lorsque vous conviez les participants à la table de dialogue, on vous répond par le lancement du drone Ayoub (envoyé au-dessus d’Israël par le Hezbollah), pour vous signifier que c’est là la seule stratégie de défense est en vigueur et aucune autre. » C’est en ces termes que le prédicateur...
commentaires (0)
Commenter