Le président de la Chambre de commerce, d’industrie et d’agriculture de Beyrouth et du Mont-Liban (CCIAB), Mohammad Choucair, a appelé le gouvernement à déclarer l’état d’urgence sanitaire. « Certains en sont arrivés à pousser l’institutionnalisation des pratiques de corruption jusqu’à vendre des médicaments avariés ou périmés », s’est-il ainsi indigné. Depuis quelque temps, nous avons eu affaire à des produits comestibles avariés, a rappelé M. Choucair qui a déploré le fait que les responsables sont restés impunis. « Cet état d’impunité a engendré un renouvellement de ces pratiques frauduleuses, a-t-il ajouté. Nous ne pouvons permettre à qui que ce soit de jouer avec la santé publique. C’est pour cela qu’il faut déclarer l’état d’urgence sanitaire », a indiqué M. Choucair.
Par ailleurs, le président de la CCIAB s’est rendu à Milan pour prendre part au Forum économique des pays méditerranéens où il est prévu qu’il signe un accord de coopération avec la Chambre de commerce de Milan, de même qu’il devrait lancer le Rassemblement des hommes d’affaires libano-italiens.
Par ailleurs, le président de la CCIAB s’est rendu à Milan pour prendre part au Forum économique des pays méditerranéens où il est prévu qu’il signe un accord de coopération avec la Chambre de commerce de Milan, de même qu’il devrait lancer le Rassemblement des hommes d’affaires libano-italiens.
Le président de la Chambre de commerce, d’industrie et d’agriculture de Beyrouth et du Mont-Liban (CCIAB), Mohammad Choucair, a appelé le gouvernement à déclarer l’état d’urgence sanitaire. « Certains en sont arrivés à pousser l’institutionnalisation des pratiques de corruption jusqu’à vendre des médicaments avariés ou périmés », s’est-il ainsi indigné. Depuis...