Le refus d’appliquer la loi 174 est un précédent grave soumis au parquet
OLJ / le 08 novembre 2012 à 01h04
La campagne nationale pour le contrôle de l’application de la loi antitabac et le groupe de recherches pour limiter le tabagisme, relevant de l’Université américaine de Beyrouth (AUB), ont souligné dans un communiqué que le refus du syndicat des propriétaires de restaurants, de cafés et de boîtes de nuit d’appliquer la loi 174 est « un précédent grave que nous soumettons au bon jugement du parquet ». Un précédent qui « ouvre la voie à tout un chacun pour enfreindre la loi et qui permet d’outrepasser les autorités et de porter atteinte aux institutions », souligne le communiqué. Les deux instances précitées indiquent que le fait d’appeler le gouvernement à « négliger l’application de la loi 174 et à faire preuve de clémence à l’égard des établissements touristiques contrevenants est un complot contre les lois ». La campagne nationale et le groupe de recherches de l’AUB ont enfin dénoncé « le recours à la rue », un moyen d’ailleurs « maintes fois désapprouvé par les propriétaires des établissements touristiques puisqu’il nuit au secteur touristique ». Et de réitérer leur soutien aux « institutions constitutionnelles et aux ministères concernés par l’application de la loi ».
La campagne nationale pour le contrôle de l’application de la loi antitabac et le groupe de recherches pour limiter le tabagisme, relevant de l’Université américaine de Beyrouth (AUB), ont souligné dans un communiqué que le refus du syndicat des propriétaires de restaurants, de cafés et de boîtes de nuit d’appliquer la loi 174 est « un précédent grave que nous soumettons au bon...
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