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Lifestyle

Quelqu’un m’a dit...

Buenos Aires chez le Amid

La résidence de Carlos Eddé a vécu au rythme du tango argentin et du panama blanc pour célébrer l’union de Samir Beydoun avec Nathalie Munier, qui irradiait dans sa robe blanche créée par le So British David Fielden. Attention : n’allez pas croire que le Amid et Hélène vont commencer à louer leurs superbes lieux à des happy events ; là, il s’agissait de célébrer les noces de la petite cousine dans la grande maison familiale, dont le jardin, transformé en un petit éden par le grand Michel Harmouche, embaumait de bonheur et d’élégante légèreté. C’était so class. Papa Roland Munier, l’überglam maman Marie et son époux Christian Vibert, ainsi que leurs deux cents invités étaient ravis, notamment Suzan Hamza, Rosine Farah, Ricardo et Youmna Karam, Samir Abillama, Chahine Assi, Carine Badaro, Saad et Karima Azhari, Rami Boutros, Farid et Danièle Chéhab, Eddy et Mona Doumit, Roger et Gina Issa, Kim et Frida Nahas, Joyli Tabet, Nada Eido, sans oublier le clan Beydoun avec aux premières loges la sœur du marié, Salwa Tuéni (et Micky), Nabil Arab, les three sisters Haïfa et Shirine Arab et Hania Alami, etc. Pareil pour les cousins et cousines de Nathalie, de super bonne humeur, venus du Brésil et de Suède, qui ont été conquis par le feu d’artifice du tanguero Mazen Kiwan et de sa partenaire argentine Yamilla Yvonne. Même la mariée a fait un tour de piste sur une musique d’Astor Piazzola, avant de voltiger aux sons des platines chauffées au rouge de Câline Chidiac. Tous (ou presque) n’ont lâché la piste de danse que pour s’embrumer les synapses au champagne et goûter aux délices préparés par Nicolas Audi. Rares sont les mariages simples et beaux à la fois. Très rares, surtout en ces temps de tragédies, d’assassinats et de crises...

Sur les trottoirs, la nuit...

Nayla Bassili a donné un dîner au Liquid pour une centaine de personnes, dont Janine Maamari, Nayla Kuning, Marc et Hala Cochrane, Claude Tarazi, Chawki Halawi, Nabil et Nana Hamdan, Claude Issa, Josette Tamer, Tarek Kettaneh, Farès et Rouaïda Soubra, Katy Khoury, Toufic el-Zein, Gaby Daher, Rabih et Sona Awad, Dolly Kassir, Robert Mikaelian, le directeur de l’AFP Sammy Ketz, Gaby Bustros, Léna Bakalian, Nabil et Nayla Kettaneh, la député Gilbert Zouein, Ramez et Linda Baladi, Khalil Arab, Serge Brounst, Marco et Jacquot Ayoub, Razek et Maya Maamarbachi, etc. Et rarement le va-et-vient entre indoor et outdoor aura été aussi intense. Pour griller l’ennemi public numéro un (leur clope), les fumeurs se sont retrouvés dans l’enclos à ciel ouvert qui tient désormais lieu de fumoir urbain : le trottoir. L’attroupement a permis de faire ami-ami avec des jeunes congénères drink en main et cigarette au bec qui faisaient la fête à l’EDL, une enseigne tout fraîchement inaugurée par sept young peoples dont Imad Khoury, étudiant à l’ALBA, tout heureux de croiser son professeur Jean-Marc Bonfils, lequel a entraîné tout ce beau monde à découvrir ses nouveaux locaux. Hypnotisés par les twenties, certains ont failli ne plus retourner au dîner de Nayla. Mais ce n’était que partie remise... Ils se sont promis de repasser par là.

LIFE is life !

Environ 900 000 livres sterling pour soutenir la prochaine génération grâce à des bourses universitaires à l’AUB et à la LAU : telle était la recette du dîner de gala organisé à Londres par le groupe LIFE (Lebanese International Finance Executives), une formidable équipe de jeunes financiers libanais (CEO, chefs d’entreprise, chairmans, directeurs exécutifs ou directeurs généraux, gérants de hedge funds, gestionnaires ou encore analystes...), tous actifs à Londres, Paris, Zurich, New York et Dubaï, et qui se mobilisent pour que les études puissent continuer après le baccalauréat.
La première place du podium a été largement tenue par les « lots » Carlos Slim, George Mitchell et Tom Barrak : difficile de lésiner pour un tête-à-tête avec l’une de ces personnalités. Un des invités a versé la somme de 80 000 pounds pour un déjeuner à Mexico avec l’homme le plus riche du monde, le magnat mexicain d’origine libanaise, Carlos Slim, et une visite privée de son Museo Soumaya, véritable ovni architectural abritant 66 000 œuvres datées du XVe au XXe siècle, dont 300 pièces du sculpteur français Rodin et de ses disciples.
Un autre a décroché pour 40 000 livres sterling un lunch pour quatre personnes avec l’ancien sénateur américain et émissaire de Barack Obama au Proche-Orient, George Mitchell. Ce dernier, présent au dîner, a reçu une standing ovation quand il a insisté sur le métissage entre son sang libanais (sa mère est de Bkassine) et l’american way of life.
Quant au repas avec Tom Barrak, il a été remporté pour 60 000 pounds. Fils d’immigrants libanais, Barrak, 375e fortune américaine avec un patrimoine de 1,1 milliard de dollars, selon le classement Forbes 2011, est le patron du Colony Capital, fonds international d’investissement immobilier aux quatre coins de la planète. Espérons que le gagnant saura profiter des conseils pour placer son fric !
La vente aux enchères comprenait aussi une vingtaine d’autres lots offerts par APEAL, Élie Saab, Dina Jisr, Nadim Karam, Joe Kesrouani, Zaha Hadid, pour ne citer que quelques-uns...
Et tout le monde semblait ravi de dépenser ses sous...

Zahlé, cerise sur le gâteau

Pour terminer de belle façon la saison d’été, un déjeuner bucolique de rêve chez Nada et Melhem Chaoul a réuni dans la villa familiale sur les rives du Berdawni (ou ce qu’il en reste, de ce pauvre fleuve...) un melting-pot de 150 personnes où le monde littéraire (Jabbour et Thérèse Douaihy, Farès Sassine, Charif et Nada Majdalani...) côtoyait placidement le politique (Khalil Hraoui, Élie et Olgdina Ferzli), le judiciaire (Carlos Hage Chahine, Nabil Younès, Carole Bustros, Nassib Chedid...) et, plus sainement, le médical (Patrick et Noha Baz) et l’artistique (Nada Sehnaoui) pour ne citer que quelques-uns.
À la bonne humeur intarissable de l’hôtesse (sveltissime et au décolleté toujours ravageur) répondait le flegme de Melhem qui dirigeait ses invités tantôt vers un buffet absolument pantagruélique et superblindé en calories, tantôt vers le jardin pour un bon narguilé, soucieux de l’application à la lettre de la loi...
En fin d’après-midi, l’arrivée des glaces de Khalaf Bou Sleiman, le Berthillon local, fut saluée par des hourras déchaînés, avant que la pluie torrentielle ne vienne gâcher un peu la dégustation. L’été a bel et bien refermé ses portes...

ditavonbliss@hotmail.com
Buenos Aires chez le Amid La résidence de Carlos Eddé a vécu au rythme du tango argentin et du panama blanc pour célébrer l’union de Samir Beydoun avec Nathalie Munier, qui irradiait dans sa robe blanche créée par le So British David Fielden. Attention : n’allez pas croire que le Amid et Hélène vont commencer à louer leurs superbes lieux à des happy events ; là, il...
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