Le porte-parole du secrétaire général de l’ONU, Martin Nesirky, a indiqué hier à L’Orient-Le Jour que « Ban Ki-moon suit de près la situation au Liban » et a laissé entendre que le responsable onusien a bien été « mis au courant » des menaces proférées contre plusieurs personnalités libanaises, nouvelles « cibles d’assassinats possibles », ainsi que de la situation à la frontière syro-libanaise. Ban Ki-moon « lance un appel au peuple libanais pour qu’il se distancie de l’instabilité régionale », a-t-il ajouté.
M. Nesirky a rappelé que le secrétaire général de l’ONU a eu un entretien téléphonique avec le président Michel Sleiman et le Premier ministre Nagib Mikati « pour bien mettre l’accent sur l’importance de poursuivre une politique de protection du Liban en “dissociant” le pays des événements régionaux ». Il a ajouté que Ban Ki-moon leur a « réitéré l’engagement ferme de la communauté internationale pour la stabilité et la souveraineté du Liban ». Il a souligné « la nécessité d’un leadership fort en ce moment critique que traverse le pays, tout en leur promettant son soutien total ».
Syrie : « Tout le monde attend vendredi »
Interrogé sur les derniers développements en Syrie à la lumière de l’appel de Lakhdar Brahimi à une trêve durant la fête de l’Adha, Martin Nesirky a déclaré que le secrétaire général s’est félicité de l’initiative du représentant spécial de l’ONU et de la Ligue arabe pour la Syrie en vue d’un cessez-le-feu et de l’arrêt de la violence. « Les regards sont maintenant tournés en direction de la Syrie. Tout le monde attend ce qui se passera vendredi matin (aujourd’hui). L’arrêt de la violence est dans l’intérêt de tous », a-t-il dit.
Au sujet de la Syrie, Martin Nesirky a rappelé qu’en premier lieu, il est important pour toutes les parties d’adhérer à la cessation de la violence. Deuxièmement, « si les tirs s’arrêtent, le personnel des organisations humanitaires pourra avoir plein accès en toute liberté à toutes les populations qui ont besoin d’assistance, conformément au droit international et aux principes qui régissent l’assistance humanitaire ». « L’ONU travaillera en collaboration avec le Croissant-Rouge syrien dans cet objectif, a-t-il indiqué. Troisièmement, il est important que les acteurs régionaux et internationaux usent de leur influence sur les parties concernées afin de faciliter la mise en œuvre du cessez-le-feu et de la cessation de la violence », a conclu Martin Nesirky.
M. Nesirky a rappelé que le secrétaire général de l’ONU a eu un entretien téléphonique avec le président Michel Sleiman et le Premier ministre Nagib Mikati « pour bien mettre l’accent sur l’importance de poursuivre une politique de protection du Liban en “dissociant” le pays des événements régionaux ». Il a ajouté que Ban Ki-moon leur a « réitéré l’engagement ferme de la communauté internationale pour la stabilité et la souveraineté du Liban ». Il a souligné « la nécessité d’un leadership fort en ce moment critique que traverse le pays, tout en leur promettant son soutien total ».
Syrie : « Tout le monde attend vendredi »
Interrogé sur les derniers développements en Syrie à la lumière de l’appel de Lakhdar Brahimi à une trêve durant la fête de l’Adha, Martin Nesirky a déclaré que le secrétaire général s’est félicité de l’initiative du représentant spécial de l’ONU et de la Ligue arabe pour la Syrie en vue d’un cessez-le-feu et de l’arrêt de la violence. « Les regards sont maintenant tournés en direction de la Syrie. Tout le monde attend ce qui se passera vendredi matin (aujourd’hui). L’arrêt de la violence est dans l’intérêt de tous », a-t-il dit.
Au sujet de la Syrie, Martin Nesirky a rappelé qu’en premier lieu, il est important pour toutes les parties d’adhérer à la cessation de la violence. Deuxièmement, « si les tirs s’arrêtent, le personnel des organisations humanitaires pourra avoir plein accès en toute liberté à toutes les populations qui ont besoin d’assistance, conformément au droit international et aux principes qui régissent l’assistance humanitaire ». « L’ONU travaillera en collaboration avec le Croissant-Rouge syrien dans cet objectif, a-t-il indiqué. Troisièmement, il est important que les acteurs régionaux et internationaux usent de leur influence sur les parties concernées afin de faciliter la mise en œuvre du cessez-le-feu et de la cessation de la violence », a conclu Martin Nesirky.
Le porte-parole du secrétaire général de l’ONU, Martin Nesirky, a indiqué hier à L’Orient-Le Jour que « Ban Ki-moon suit de près la situation au Liban » et a laissé entendre que le responsable onusien a bien été « mis au courant » des menaces proférées contre plusieurs personnalités libanaises, nouvelles « cibles d’assassinats possibles », ainsi que de la situation...