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Liban

Le Conseil d’association UE-Liban : consolider les liens à travers un partenariat renouvelé

Le Conseil d’association UE-Liban a tenu une réunion hier à Bruxelles, indique un communiqué de la délégation de l’Union européenne au Liban, précisant qu’il s’agit de la sixième réunion depuis l’entrée en vigueur de l’accord d’association UE-Liban en 2006.
Le Conseil d’association UE-Liban était présidé par le ministre libanais des Affaires étrangères, Adnane Mansour. Le ministre de l’Économie et du Commerce, Nicolas Nahas, qui est en quelque sorte le pivot central du gouvernement pour la Politique européenne de voisinage (PEV), a également participé à la réunion.
La ministre chypriote des Affaires étrangères, Erato Kozakou-Marcoullis, était présente à la rencontre en sa qualité de déléguée de la haute représentante de l’UE pour les Affaires étrangères et la Politique de sécurité et vice-présidente de la Commission européenne, Catherine Ashton. La Commission européenne était représentée par le commissaire chargé de l’Élargissement et de la Politique européenne de voisinage, Stefan Füle.
Cette réunion du Conseil d’association a fourni l’occasion de faire le bilan des réalisations du partenariat UE-Liban dans le cadre de la PEV et de définir des priorités communes pour la coopération future. Ce fut aussi l’occasion d’un échange de vues portant sur les développements au Liban et au sein de l’Union européenne, ainsi que sur la situation dans la région du Moyen-Orient.
La partie européenne a réitéré l’engagement de l’UE à l’unité, la stabilité, l’indépendance, la souveraineté et l’intégrité territoriale du Liban, compte tenu de la détérioration de la situation en Syrie. L’UE a aussi exprimé son soutien aux efforts du gouvernement pour maintenir la stabilité dans le pays.
De son côté, la délégation libanaise a insisté sur l’importance du renforcement des relations bilatérales approfondies visant des résultats plus tangibles pour la communauté des affaires et les citoyens, et a souligné la nécessité de renforcer la coopération dans tous les domaines. Le Liban a aussi réitéré sa détermination à aller de l’avant dans son programme de réforme avec le soutien de l’UE.
Le Conseil d’association a discuté du nouveau plan d’action qui va guider la coopération UE-Liban dans les années 2013-2015. Les principales priorités de ce document ont été endossées par les parties européenne et libanaise. Le plan d’action constituera l’un des jalons d’un partenariat UE-Liban consolidé et durable.
Les deux parties se sont félicitées des discussions approfondies qui ont nécessité des consultations très larges entre ministères libanais, au sein de l’UE, et avec la société civile au Liban et en Europe.
L’Union européenne et le Liban ont aussi reconnu l’importance de mettre en œuvre de manière rapide et efficace les priorités convenues dans le plan d’action, qui sont basées sur le programme libanais de réforme. La réalisation de ces priorités bénéficiera fortement à la population libanaise dans les domaines économique, social et politique, ainsi qu’à l’Union européenne.
Le Conseil d’association UE-Liban a tenu une réunion hier à Bruxelles, indique un communiqué de la délégation de l’Union européenne au Liban, précisant qu’il s’agit de la sixième réunion depuis l’entrée en vigueur de l’accord d’association UE-Liban en 2006. Le Conseil d’association UE-Liban était présidé par le ministre libanais des Affaires étrangères,...
commentaires (1)

ce partenariat, serait-il pas une sorte de mise sous tutelle du Liban ? comme cela le Liban, doit avoir une politique pro-européen et américaine. Ils aident l'armée libanaise, mais ne fournissent pas d'armes pour se défendre (missile sol/air, air/mer) l'armée a toujours des M113, se sont de vieux blindés de plus de 20 ans. Les conseillés militaires, forment, mais aussi espionnent, et aussi peuvent former des agents

Talaat Dominique

08 h 42, le 18 octobre 2012

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Commentaires (1)

  • ce partenariat, serait-il pas une sorte de mise sous tutelle du Liban ? comme cela le Liban, doit avoir une politique pro-européen et américaine. Ils aident l'armée libanaise, mais ne fournissent pas d'armes pour se défendre (missile sol/air, air/mer) l'armée a toujours des M113, se sont de vieux blindés de plus de 20 ans. Les conseillés militaires, forment, mais aussi espionnent, et aussi peuvent former des agents

    Talaat Dominique

    08 h 42, le 18 octobre 2012

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