La crise en Syrie pourrait avoir des conséquences "catastrophiques, non seulement "pour la Syrie mais pour toute la région", a averti mardi le Secrétaire général de la Ligue arabe, Nabil El-Arabi, à l'ouverture du IIIe Sommet de l'Aspa à Lima.
"La crise syrienne représente un défi majeur pour les pays arabes en ce moment. Les résultats de la crise pourraient être catastrophiques non seulement pour la Syrie, mais pour tout le monde arabe", a ajouté M. El-Arabi, appelant à "travailler pour mettre fin à la violence en Syrie".
"Toutes les initiatives de paix n'ont conduit à aucun résultat, aucune solution n'a été trouvée pour débloquer la situation d'un point de vue politique", a-t-il rappelé, évoquant le rôle des envoyés spéciaux de l'ONU Kofi Annan et son actuel successeur Lakhder Brahimi.
"Il faut en finir avec les crimes de l'appareil militaire de l'Etat syrien et la violence de l'opposition, nous devons stopper l'hémorragie", a-t-il réitéré.
"Nous voulons que le peuple syrien obtienne ce qu'il souhaite, la démocratisation du pays", a encore souligné le secrétaire général de la Ligue arabe.
M. El-Arabi assistait mardi au IIIe Sommet de l'Aspa, comprenant les pays membres de la Ligue arabe et de l'Union des nations d'Amérique latine (Unasur).
Les représentants de 20 des 32 pays membres de l'Aspa participent à la rencontre, pour laquelle ne se sont déplacés que trois chefs d'Etat et de gouvernement arabes, le président libanais Michel Sleimane, le président tunisien Moncef Marzouki, et le roi de Jordanie, Abdallah II.
Deux pays manquent à l'appel: la Syrie, suspendue par la Ligue Arabe, et le Paraguay par l'Unasur après la destitution du président Fernando Lugo par le Parlement en juin dernier.
Pour l'Amérique du Sud participent au Sommet les présidents Juan Manuel Santos (Colombie), Sebastian Piñera (Chili), Rafael Correa (Equateur), Jose Mujica (Uruguay), Cristina Kirchner (Argentine), Dilma Rousseff (Brésil) et Evo Morales (Bolivie).
Les délégations ont été accueillies en grande pompe mardi lors d'une brève cérémonie par le président péruvien Ollanta Humala sur les marches du Grand Théâtre National avant de se réunir à huis clos.
Le Sommet doit prendre fin mardi soir avec une déclaration commune et une conférence de presse, prévue vers 17H00 locales (22H00 GMT)
"La crise syrienne représente un défi majeur pour les pays arabes en ce moment. Les résultats de la crise pourraient être catastrophiques non seulement pour la Syrie, mais pour tout le monde arabe", a ajouté M. El-Arabi, appelant à "travailler pour mettre fin à la violence en Syrie".
"Toutes les initiatives de paix n'ont conduit à aucun résultat, aucune solution n'a été trouvée pour débloquer la situation d'un point de vue politique", a-t-il rappelé, évoquant le rôle des envoyés spéciaux de l'ONU Kofi Annan et son actuel successeur Lakhder Brahimi.
"Il faut en finir avec les crimes de l'appareil militaire de l'Etat syrien et la violence de l'opposition, nous devons stopper l'hémorragie", a-t-il réitéré.
"Nous voulons que le peuple syrien obtienne ce qu'il souhaite, la démocratisation du pays", a encore souligné le secrétaire général de la Ligue arabe.
M. El-Arabi assistait mardi au IIIe Sommet de l'Aspa, comprenant les pays membres de la Ligue arabe et de l'Union des nations d'Amérique latine (Unasur).
Les représentants de 20 des 32 pays membres de l'Aspa participent à la rencontre, pour laquelle ne se sont déplacés que trois chefs d'Etat et de gouvernement arabes, le président libanais Michel Sleimane, le président tunisien Moncef Marzouki, et le roi de Jordanie, Abdallah II.
Deux pays manquent à l'appel: la Syrie, suspendue par la Ligue Arabe, et le Paraguay par l'Unasur après la destitution du président Fernando Lugo par le Parlement en juin dernier.
Pour l'Amérique du Sud participent au Sommet les présidents Juan Manuel Santos (Colombie), Sebastian Piñera (Chili), Rafael Correa (Equateur), Jose Mujica (Uruguay), Cristina Kirchner (Argentine), Dilma Rousseff (Brésil) et Evo Morales (Bolivie).
Les délégations ont été accueillies en grande pompe mardi lors d'une brève cérémonie par le président péruvien Ollanta Humala sur les marches du Grand Théâtre National avant de se réunir à huis clos.
Le Sommet doit prendre fin mardi soir avec une déclaration commune et une conférence de presse, prévue vers 17H00 locales (22H00 GMT)
La crise en Syrie pourrait avoir des conséquences "catastrophiques, non seulement "pour la Syrie mais pour toute la région", a averti mardi le Secrétaire général de la Ligue arabe, Nabil El-Arabi, à l'ouverture du IIIe Sommet de l'Aspa à Lima."La crise syrienne représente un défi majeur pour les pays arabes en ce moment. Les résultats de la crise pourraient être catastrophiques non...
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