Le leader des FL a souligné aussi que « le pape a parlé d’un grand dialogue absolu entre toutes les composantes, et nous le soutenons ».
« Les chrétiens sont confrontés à de grands dangers et ils doivent être prêts à y faire face et non à les fuir », a déclaré M. Geagea, rappelant que « le pape Jean-Paul II est venu au Liban en 1997 et a donné un regain d’espoir au moment où les Libanais avaient baissé les bras. Aujourd’hui, un nouvel espoir s’ajoute à l’espoir de 1997 », a souligné le leader des Forces libanaises.
À sa sortie du palais présidentiel, M. Geagea a salué le mufti de la République, qui l’a invité à déjeuner, invitation que M. Geagea a déclinée, « pour des raisons de sécurité ».
Pour sa part, Mme Geagea a relevé la grande différence que représente, pour elle, la visite de Jean-Paul II, en 1997, et celle de Benoît XVI aujourd’hui. « En 1997, a-t-elle dit, j’étais seule à accueillir le pape. » Son époux, lui, était alors en prison.
Suis ton chemin Samir ya Hakim et laisse dire !
13 h 54, le 17 septembre 2012