ANTONY & THE JOHNSONS
Cut the world
Cela faisait deux ans depuis son dernier album qu’Antony & the Johnsons n’avait pas poussé la chansonnette en studio. Ce cinquième opus qui vient de sortir est en quelque sorte le premier best of du groupe. En quelque sorte parce qu’on y retrouve les versions symphoniques de You Are My Sister, Epilepsy Is Dancing ou encore Another World, toutes enregistrées à Copenhague, avec l’Orchestre national du Danemark. Une vraie bombe avec un inédit bien sûr.
REGINA SPEKTOR
What We saw from the Cheap Seats
C’est drôle comme Regina Spektor peut sembler barrée. Mais c’est d’une légère folie douce dont il s’agit. Une folie douce en musique. Héritière de Fiona Apple, dont on a parlé la semaine dernière, elle sort un album particulièrement bon où sa voix et ses doigts sur le piano subjuguent totalement. Ce 6e album est ce genre de disque qui plaît dès la première écoute. Antifolk jusqu’au bout.
THE DODOZ
Forever I Can Purr
Il y a trois ans, The Dodoz (un nom improbable, on vous l’accorde) sortaient leur premier album qui avait des sonorités d’adolescence rebelle et révoltée. Après une jolie tournée et sa présence dans les grands festivals, le groupe, qui s’inscrit dans la lignée des Franz Ferdinand ou des Siouxsie, est de retour avec Forever I Can Purr, un album non pas de la maturité, mais d’une miniévolution qui a duré 3 ans. Les conneries des ados sont oubliées. Voici venu le temps plus mûr des adultes. Sublime morceau qu’est Ghost.
Cut the world
Cela faisait deux ans depuis son dernier album qu’Antony & the Johnsons n’avait pas poussé la chansonnette en studio. Ce cinquième opus qui vient de sortir est en quelque sorte le premier best of du groupe. En quelque sorte parce qu’on y retrouve les versions symphoniques de You Are My Sister, Epilepsy Is Dancing ou encore Another World, toutes enregistrées à Copenhague, avec l’Orchestre national du Danemark. Une vraie bombe avec un inédit bien sûr.
REGINA SPEKTOR
What We saw from the Cheap Seats
C’est drôle comme Regina Spektor peut sembler barrée. Mais c’est d’une légère folie douce dont il s’agit. Une folie douce en musique. Héritière de Fiona Apple, dont on a parlé la semaine dernière, elle sort un album particulièrement bon où sa voix et ses doigts sur le piano subjuguent totalement. Ce 6e album est ce genre de disque qui plaît dès la première écoute. Antifolk jusqu’au bout.
THE DODOZ
Forever I Can Purr
Il y a trois ans, The Dodoz (un nom improbable, on vous l’accorde) sortaient leur premier album qui avait des sonorités d’adolescence rebelle et révoltée. Après une jolie tournée et sa présence dans les grands festivals, le groupe, qui s’inscrit dans la lignée des Franz Ferdinand ou des Siouxsie, est de retour avec Forever I Can Purr, un album non pas de la maturité, mais d’une miniévolution qui a duré 3 ans. Les conneries des ados sont oubliées. Voici venu le temps plus mûr des adultes. Sublime morceau qu’est Ghost.
ANTONY & THE JOHNSONSCut the worldCela faisait deux ans depuis son dernier album qu’Antony & the Johnsons n’avait pas poussé la chansonnette en studio. Ce cinquième opus qui vient de sortir est en quelque sorte le premier best of du groupe. En quelque sorte parce qu’on y retrouve les versions symphoniques de You Are My Sister, Epilepsy Is Dancing ou encore Another...
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