La chancelière allemande Angela Merkel a regretté jeudi la décision de la Chine et de la Russie de boycotter la conférence des "Amis du peuple syrien" qui se tient vendredi à Paris.
"Ce n'est pas un bon signal quand deux puissances sont absentes de conférences comme celle-ci", a affirmé Merkel, lors d'un point de presse après un entretien avec le Premier ministre libanais Najib Mikati, en visite à Berlin.
"Mais d'un autre côté, on ne peut pas toujours tout faire reposer sur ces pays -- il est préférable que nous participions tous mais je pense que nous devons avancer pas à pas et poursuivre nos efforts pour impliquer d'autres pays."
La Chine s'est alignée jeudi sur la décision de la Russie de boycotter la conférence des "Amis du peuple syrien", qui vise à coordonner les efforts pour mettre un terme au conflit sanglant qui touche le pays.
La Russie, un allié de longue date du président syrien Bachar al-Assad, a annoncé sa décision après avoir accusé les pays occidentaux de dénaturer l'accord passé ce week-end à Genève entre les grandes puissances, dont l'objectif est de permettre une transition politique en Syrie.
La conférence de Paris succède à celles de Tunis en février et d'Istanbul en avril, chacune d'entre elles ayant appelé, en vain, à des actions plus sévères à l'encontre du gouvernement de Bachar al-Assad.
Les Etats-Unis, la France, la Grande-Bretagne, l'Arabie saoudite et le Qatar sont les pays leaders des "Amis du peuple syrien", qui rassemble plus de 60 membres, dont la plupart des Etats de l'Union européenne et de nombreux pays de la Ligue arabe.
La Chine a soutenu la Russie à Genève en insistant sur l'importance de laisser les Syriens décider de la mise en oeuvre de la transition, sans que d'autres pays leur dictent leur avenir, et n'a pas exclu qu'Assad demeure au pouvoir, d'une manière ou d'une autre.
"Ce n'est pas un bon signal quand deux puissances sont absentes de conférences comme celle-ci", a affirmé Merkel, lors d'un point de presse après un entretien avec le Premier ministre libanais Najib Mikati, en visite à Berlin.
"Mais d'un autre côté, on ne peut pas toujours tout faire reposer sur ces pays -- il est préférable que nous participions tous mais je pense que nous devons avancer pas à pas et poursuivre nos efforts pour impliquer d'autres pays."
La Chine s'est alignée jeudi sur la décision de la Russie de boycotter la conférence des "Amis du peuple syrien", qui vise à coordonner les efforts pour mettre un terme au conflit sanglant qui touche le pays.
La Russie, un allié de longue date du président syrien Bachar al-Assad, a annoncé sa décision après avoir accusé les pays occidentaux de dénaturer l'accord passé ce week-end à Genève entre les grandes puissances, dont l'objectif est de permettre une transition politique en Syrie.
La conférence de Paris succède à celles de Tunis en février et d'Istanbul en avril, chacune d'entre elles ayant appelé, en vain, à des actions plus sévères à l'encontre du gouvernement de Bachar al-Assad.
Les Etats-Unis, la France, la Grande-Bretagne, l'Arabie saoudite et le Qatar sont les pays leaders des "Amis du peuple syrien", qui rassemble plus de 60 membres, dont la plupart des Etats de l'Union européenne et de nombreux pays de la Ligue arabe.
La Chine a soutenu la Russie à Genève en insistant sur l'importance de laisser les Syriens décider de la mise en oeuvre de la transition, sans que d'autres pays leur dictent leur avenir, et n'a pas exclu qu'Assad demeure au pouvoir, d'une manière ou d'une autre.
La chancelière allemande Angela Merkel a regretté jeudi la décision de la Chine et de la Russie de boycotter la conférence des "Amis du peuple syrien" qui se tient vendredi à Paris."Ce n'est pas un bon signal quand deux puissances sont absentes de conférences comme celle-ci", a affirmé Merkel, lors d'un point de presse après un entretien avec le Premier ministre libanais Najib Mikati, en...
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