Le Premier ministre libanais Najib Mikati doit se rendre en Turquie mercredi soir afin d'évoquer le sort des onze Libanais chiites enlevés en Syrie le 22 mai, a indiqué à l'AFP une source gouvernementale libanaise.
"Sur requête du cabinet, M. Mikati se rendra en Turquie mercredi en début de soirée afin d'entrer en contact direct avec les autorités turques" au sujet de ces Libanais, enlevés dans la province d'Alep, dans le nord de la Syrie, a indiqué cette source sous couvert de l'anonymat.
Selon l'agence officielle libanaise, il s'agit de chiites qui rentraient en bus dans leur pays après un pèlerinage en Iran.
Beyrouth avait annoncé vendredi leur libération, ajoutant que leur retour était prévu vendredi soir via la Turquie, avant un démenti d'Ankara a ensuite semé la confusion.
"Je pense qu'ils sont aujourd'hui encore en Syrie, nous poursuivons nos efforts pour travailler à leur libération", a affirmé dimanche le chef démissionnaire du Conseil national syrien (CNS, principale coalition de l'opposition), Burhan Ghalioun, lors d'une conférence de presse à Istanbul.
Par ailleurs, il a affirmé que "la religion n'a rien à voir dans cet enlèvement, les personnes kidnappées ne sont pas des civils mais participaient à des entraînements", sans élaborer, selon des propos rapportés par la chaîne libanaise LBCI sur son site internet.
Le Hezbollah chiite libanais, allié du régime syrien, a démenti des rumeurs faisant état de la présence du neveu de son chef, Hassan Nasrallah, ou de certains de ses proches dans ce groupe.
Aucune partie n'a revendiqué le rapt et l'Armée syrienne libre (ASL, opposition armée) a démenti toute implication, après avoir été mise en cause par l'agence libanaise.
"Sur requête du cabinet, M. Mikati se rendra en Turquie mercredi en début de soirée afin d'entrer en contact direct avec les autorités turques" au sujet de ces Libanais, enlevés dans la province d'Alep, dans le nord de la Syrie, a indiqué cette source sous couvert de l'anonymat.
Selon l'agence officielle libanaise, il s'agit de chiites qui rentraient en bus dans leur pays après un pèlerinage en Iran.
Beyrouth avait annoncé vendredi leur libération, ajoutant que leur retour était prévu vendredi soir via la Turquie, avant un démenti d'Ankara a ensuite semé la confusion.
"Je pense qu'ils sont aujourd'hui encore en Syrie, nous poursuivons nos efforts pour travailler à leur libération", a affirmé dimanche le chef démissionnaire du Conseil national syrien (CNS, principale coalition de l'opposition), Burhan Ghalioun, lors d'une conférence de presse à Istanbul.
Par ailleurs, il a affirmé que "la religion n'a rien à voir dans cet enlèvement, les personnes kidnappées ne sont pas des civils mais participaient à des entraînements", sans élaborer, selon des propos rapportés par la chaîne libanaise LBCI sur son site internet.
Le Hezbollah chiite libanais, allié du régime syrien, a démenti des rumeurs faisant état de la présence du neveu de son chef, Hassan Nasrallah, ou de certains de ses proches dans ce groupe.
Aucune partie n'a revendiqué le rapt et l'Armée syrienne libre (ASL, opposition armée) a démenti toute implication, après avoir été mise en cause par l'agence libanaise.
Le Premier ministre libanais Najib Mikati doit se rendre en Turquie mercredi soir afin d'évoquer le sort des onze Libanais chiites enlevés en Syrie le 22 mai, a indiqué à l'AFP une source gouvernementale libanaise."Sur requête du cabinet, M. Mikati se rendra en Turquie mercredi en début de soirée afin d'entrer en contact direct avec les autorités turques" au sujet de ces Libanais,...
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