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Liban

Le Hezbollah dénonce « les entraves, internes et externes, au travail du gouvernement »

Le député hezbollahi, Hassan Fadlallah, a estimé hier que « le problème au niveau du gouvernement réside dans la non-application des décisions qu’il prend ». « Nous avons franchi des pas non négligeables dans le dossier de l’électricité par exemple, que nous nous efforcerons à mettre en application de l’intérieur, de sorte à ce que les réformes tant attendues par les citoyens avancent vite », a-t-il ajouté. Il a dénoncé dans ce cadre « des interventions sournoises qui tentent d’entraver le travail du cabinet, afin de faire échouer la majorité ». Et d’ajouter : « D’aucuns contribuent, sciemment ou pas, à nous mettre des bâtons dans les roues, à travers d’étroits calculs internes. »
Reconnaissant pour sa part que « le cabinet continue de trébucher à une période qui ne s’y prête pas », son collègue Nawaf Moussaoui a prévenu que « toute partie qui contribue à ralentir le rendement du gouvernement n’en récoltera que des fruits amers. En effet, personne ne peut rester actif dans l’équation politique si ses alliés au sein du gouvernement sont affaiblis ».
De son côté, le député du même bloc, Ali Fayad, a choisi de s’en prendre directement à l’opposition. « Ce qui motive le discours du 14 Mars est l’appétit du pouvoir, quitte à faire échouer un gouvernement soucieux de répondre aux doléances des citoyens », a-t-il déploré. Renchérissant sur ce point, le vice-président du comité exécutif du Hezbollah, cheikh Nabil Kaouk, a estimé que « le 14 Mars conduit le pays vers de grands dangers ». Il a rappelé en outre que « le Hezbollah continue de soutenir le gouvernement par souci de stabilité nationale, et non par satisfaction à l’égard de son rendement ».
Le député hezbollahi, Hassan Fadlallah, a estimé hier que « le problème au niveau du gouvernement réside dans la non-application des décisions qu’il prend ». « Nous avons franchi des pas non négligeables dans le dossier de l’électricité par exemple, que nous nous efforcerons à mettre en application de l’intérieur, de sorte à ce que les réformes tant attendues...

commentaires (7)

On leur jette des entraves entre les roues, car les pauvres ils roulent... rien ne marche... ils rouleront, parfois sur leurs roues, et souvent à l'envers...

SAKR LEBNAN

12 h 08, le 10 avril 2012

Tous les commentaires

Commentaires (7)

  • On leur jette des entraves entre les roues, car les pauvres ils roulent... rien ne marche... ils rouleront, parfois sur leurs roues, et souvent à l'envers...

    SAKR LEBNAN

    12 h 08, le 10 avril 2012

  • Mon cher Robert,j'ai toujours essayé de garder part égale entre les uns et les autres,malgré mon appartenance....mais là franchement,çà devient ridicule///pompier pyromane,arroseur arrosé,,le discours des caciques du hezb devient inaudible...ou à tout le moins indéchiffrable...voilà des gens qui tiennet le pays sous leur coupe,et qui parlent comme si c'était eux qui étaient dans l'opposition et opprimés en plus...la takkiya portée à son paroxysme...les troupes vraiement libanaises du hezb ne supporteront pas longtemps ce discours,j'en ai l'intime conviction!

    GEDEON Christian

    09 h 30, le 10 avril 2012

  • Cela fait deux fois, en quelques semaines, que l'on parle de "travail" du gouvernement. Et ce sont deux fois de trop. Alors si c'est "par souci de stabilité nationale" qu'il faut soutenir un gouvernement qui n'est en rien équilibré, solide ou sûr, c'est un premier leurre. Le deuxième, constant, continu et omniprésent, est le discours de ce gouvernement psychotique à la botte du Hezbollah (et de ses marionnettes oranges) qui accuse l'opposition du mal que le Hezbollah lui-même fait au pays depuis 30 ans. Tu sais Christian, la schizophrénie a ses vertus pour ceux qui en sont atteints, ils ne se posent pas de questions, il leur suffit d'entendre des voix.

    Robert Malek

    08 h 45, le 10 avril 2012

  • Ils considèrent que, contrairement à l’adage, c’est leur fiction qui, et ils y croient ferme les pâmés, dépassera la réalité tant elle a les coudées franches pour évoluer sans rendre de comptes à personne dans leur Merveilleux Monde Imaginaire "Malsain" ! Il faut avouer que "cette Affaire" Hariri contrarie cette inclination, tant elle cumule les péripéties déconcertantes et tant leurs intrigues aux "Malsains" les "Captivent" au propre comme au figuré. Il faut bien dire leur "Fiction", osons donc le dire, risque de ne dépasser en Rien et de loin ce qui s’est passé ce jour fatidique-là de février 05 au St. Georges ! Mais à ce point ! Oui, car par "leur Œuvre" d’imagination qu’ils mettent en scène, ils veulent démontrer, les puinés, qu’un personnage Puissant et Premier Ministre de son Pays, le Liban, nommé Rafic HARIRI, a été soudainement, et bien entendu "par Hasard", mêlé à un "simple attentat", quoi !, qui "n’a fait que" : lui Coûter la Vie ainsi que 22 autres innocents avec lui ! ; "comme ça", quoi ! Eh oui, en plus dans un Beyrouth qu'il adorait, une ville pour laquelle il a TOUT entrepris et Reconstruis ! Comme eux quoi !, les "ConStructeurs", n’est-ce pas ? ! Mais bien fait, ils se retrouvent face maintenant à une Justice Internationale dont les rouages vont "écorcher" tous vifs, démantibuler pour finir heureusement par "broyer" tout genre Malsain". Oui, c’est bien lui ce "genre-là", qui va finir comme ça !

    Antoine-Serge KARAMAOUN

    05 h 51, le 10 avril 2012

  • De quel travail... parlent-ils ? Partout il y a main...basse !

    SAKR LEBNAN

    02 h 54, le 10 avril 2012

  • Messieurs Hassan Fadlallah, Nawaf Moussaoui, Ali Fayad et cheikh Nabil Kaouk, vous prenez vraiment les enfants du bon dieu pour des canards sauvages ! Chacune de vos interventions est d'un risible est d'un ridicule inégalé dans l'histoire mondiale du mensonge. Vous ridiculisez votre parti par des assertions si grossières. Au moins pour votre parti, réfléchissez avant de parler. Le mensonge ne tue que celui qui le prononce.

    Saleh Issal

    02 h 13, le 10 avril 2012

  • Discours totalement schizophrènes...sans doute à usage interne,mais alors très interne...de la part d'un parti qui a paralysé,par la force et l'occupation de la Ville le gouvernement précedent,qui a nommé le gouvernement actuel,et qui a la mainmise "sécuritaire"(sans rire) sur le pays ou ce qui en reste,c'est carrément surréaliste...je sais bien que c'est la période de Pâques...mais prendre les Libanais pour des cloches à ce point là,il fallait le faire...entre une opposition qui ne sait pas comment elle s'appelle et une "majorité" qui parle comme une minorité opprimée,on est servi...

    GEDEON Christian

    18 h 09, le 09 avril 2012

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