Les jeunes participants, chacun à sa manière racontant son histoire avec la langue de Molière. « La culture et la littérature françaises sont ancrées dans ma vie quotidienne. Les étés passés en France et les amis que j’ai rencontrés ont vraiment renforcé mes liens avec la francophonie », confie Elham Karpoutli, étudiante de traduction à Balamand. Différente, l’expérience de son collègue Tarek Abboud. « J’ai entendu mon premier mot en français il y a seulement trois ans. Cette langue m’a fasciné. Et je suis devenu un parfait francophone », confie le jeune homme. Ces deux étudiants veulent changer l’dée que les gens se font de l’université Balamand comme étant uniquement anglophone. « Le français occupe une place assez importante dans notre université. Le département de français travaille dur afin de nous assurer une ambiance culturelle francophone », soutient Elham. Rachel Assef, étudiante en littérature française à l’UL, a choisi de partager avec le public une nouvelle qu’elle a écrite en hommage à la langue francaise, « sa bien-aimée ». Quant à Leena Kamardeen et Rita Issa, toutes les deux étudiantes en sciences de l’éducation à l’USJ (campus du Liban-Nord), c’est à travers les paroles des chansons, les mots d’amour, chez le coiffeur, au restaurant, chez le garagiste, à tout moment de la journée qu’elles se frottent au français. De l’université Jinan, Hiba Tleiss, étudiante en traduction, se félicite d’avoir réussi à enseigner le français à son professeur anglophone. Sa collègue Marwa Khalaf conclut : « Je suis reconnaissante à l’université Jinan qui nous permet de vivre notre francophonie grâce aux multiples activités culturelles qu’elle organise. »
Campus - Libre cours
Ma francophonie… mon quotidien
OLJ / Par Roula AZAR DOUGLAS, le 31 mars 2012 à 22h00
Les jeunes participants, chacun à sa manière racontant son histoire avec la langue de Molière. « La culture et la littérature françaises sont ancrées dans ma vie quotidienne. Les étés passés en France et les amis que j’ai rencontrés ont vraiment renforcé mes liens avec la francophonie », confie Elham Karpoutli, étudiante de traduction à Balamand. Différente, l’expérience de son collègue Tarek Abboud. « J’ai entendu mon premier mot en français il y a seulement trois ans. Cette langue m’a fasciné. Et je suis devenu un parfait francophone », confie le jeune homme. Ces deux étudiants veulent changer l’dée que les gens se font de l’université Balamand comme étant uniquement anglophone. « Le français occupe une place assez importante dans notre université. Le département de français travaille dur afin de nous assurer une ambiance culturelle francophone », soutient Elham. Rachel Assef, étudiante en littérature française à l’UL, a choisi de partager avec le public une nouvelle qu’elle a écrite en hommage à la langue francaise, « sa bien-aimée ». Quant à Leena Kamardeen et Rita Issa, toutes les deux étudiantes en sciences de l’éducation à l’USJ (campus du Liban-Nord), c’est à travers les paroles des chansons, les mots d’amour, chez le coiffeur, au restaurant, chez le garagiste, à tout moment de la journée qu’elles se frottent au français. De l’université Jinan, Hiba Tleiss, étudiante en traduction, se félicite d’avoir réussi à enseigner le français à son professeur anglophone. Sa collègue Marwa Khalaf conclut : « Je suis reconnaissante à l’université Jinan qui nous permet de vivre notre francophonie grâce aux multiples activités culturelles qu’elle organise. »