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Le PSP s’en prend à Solidere

Se référant à la partie de l’éditorial de son chef, Walid Joumblatt, relative à l’hippodrome du centre-ville, le service d’information du PSP a indiqué que « la responsabilité de maintien du site incombe à Solidere et non pas à la municipalité de Beyrouth qui, elle, se distingue par sa négligence au niveau de la préservation des immeubles historiques ».


« Pour ce qui est de Solidere, la société a, selon les informations obtenues, rejeté tous les conseils qui lui avaient été adressés pour préserver l’hippodrome, d’autant que c’est l’ensemble de l’ancien centre-ville qui a été défiguré, du fait de la destruction du patrimoine architectural libanais et de l’atteinte grave portée au tissu social et urbain de cet espace transformé en une ville nouvelle complètement déconnectée de son passé et de son environnement actuel », poursuit le communiqué, qui juge « inacceptable de détruire le peu qui reste encore des vestiges historiques et archéologiques au centre-ville avec l’absence, pour ne pas dire la complicité de certains services du ministère de la Culture ».


Le texte invite ensuite les autorités officielles à assumer leurs responsabilités.

Se référant à la partie de l’éditorial de son chef, Walid Joumblatt, relative à l’hippodrome du centre-ville, le service d’information du PSP a indiqué que « la responsabilité de maintien du site incombe à Solidere et non pas à la municipalité de Beyrouth qui, elle, se distingue par sa négligence au niveau de la préservation des immeubles historiques ».
« Pour ce qui est...

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