Tom Hanks et le jeune Tom Horner.
Extremely Loud & Incredibly Close
de Stephen Daldry
Avec Tom Hanks, Sandra Bullock et Max von Sydow.
Oskar Schell, 11 ans, est un jeune New-Yorkais à l’imagination débordante qui entretient une super-relation avec son père où tous deux excellent à se surpasser dans les découvertes scientifiques. Mais lorsque son père disparaît par « accident » (car il n’était pas supposé être à cet endroit) dans une des tours jumelles, l’univers d’Oskar s’effondre. Un an après la mort de son père, l’adolescent découvre une clé dans ses affaires. Déterminé à maintenir un lien avec l’homme qui lui a appris à surmonter ses plus grandes angoisses, il se met en tête de trouver la serrure qui correspond à la mystérieuse clé. Tandis qu’il sillonne la ville pour résoudre l’énigme, le jeune garçon croise toutes sortes d’individus qui, chacun à sa façon, sont des survivants. Par ailleurs, il va découvrir des liens insoupçonnés avec son père qui lui manque terriblement et avec sa mère qui semble si loin de lui, mais aussi avec le monde déconcertant et périlleux qui l’entoure.
Stephen Daldry aime à sonder les univers des adolescents. Il l’avait déjà essayé dans Billy Elliott et cela lui avait réussi. Par la suite, en 2002, son film The Hours, dans un autre registre, aura un Golden Globe pour le meilleur film. Cette fois-ci, il s’attaque à un sujet épineux et sensible : le deuil des parents des victimes des attaques du 9/11. Oliver Stone s’était cassé la gueule dans son film World Trade Center. Stephen Daldry, loin de là, réalise un film juste, sous un angle intéressant. Dommage qu’il verse parfois dans une esthétique maniériste et plombée, lourde, sous la musique d’Alexandre Desplat. Le jeune garçon ? Too much. Sandra Bullock et Tom Hanks : trop absents. Seul Max von Sydow brille par son humilité et sa pudeur.
Grand Cinemas ABC, concorde/las salinas/saïda mall
Mirror, Mirror
de Tarsem Singh
Avec Julia Roberts et Lilie Collins.
Lorsque son père, le roi, meurt, Blanche Neige est en danger. Sa belle-mère, cruelle et avide de pouvoir, l’évince pour s’emparer du trône. Les choses vont encore se compliquer quand la jeune femme attire malgré tout l’attention d’un prince aussi puissant que séduisant. L’horrible marâtre ne lui laisse alors aucune chance et la bannit du royaume. Blanche Neige se réfugie alors dans la forêt. Recueillie par une bande de nains hors la loi au grand cœur, la douce princesse va trouver la force de sauver son royaume des griffes de la méchante reine. Avec l’aide de ses nouveaux amis, elle est décidée à passer à l’action pour reconquérir sa place et le cœur du prince. Telle est l’histoire des frères Grimm qui est reproduite avec beaucoup d’authenticité par l’auteur de The Cell et The Immortals. Si les décors, ou les costumes signés Eiko Ishioka avant qu’elle ne décède dernièrement sont assez fidèles au conte et à son univers avec des incursions bollywoodiennes, comme le grand bal, le personnage de Blanche Neige est ici porteur d’une quête identitaire universelle qui dépasse la simple fable. Au départ, timide et réservée, la jeune fille vit dans ses rêves et s’apparente à la parfaite héroïne naïve des conte de fées, mais peu à peu, cette jeune fille va se forger une personnalité et découvrir la vraie vie. Les nains, pour leur part, n’ont pas de noms, de caractères mais de métiers. Certes, la part belle est donnée à la magnifique Julia Roberts qui, malgré son rôle à contre-emploi de méchante marâtre, demeure la grande Julia.
Grand Cinemas ABC, concorde/las salinas/saïda mall, planète abraj, kaslik
The Lorax,
de Chris Renaud et Kyle Balda
Avec les voix de Danny de Vito et Zac Efron.
Ted a 12 ans et il est prêt à tout pour conquérir la jolie Audrey. Le seul moyen d’y parvenir est de lui offrir un arbre. Sauf qu’il n’en pousse plus depuis belle lurette. Sur les conseils de sa grand-maman, Ted ose s’aventurer à l’extérieur de la cité fortifiée pour trouver un lieu désert. Au fil de son périple, il fait la rencontre d’un mystérieux ermite qui pourrait bien l’aider. Ce dernier lui parle de son passé, de cette époque où le Lorax et ses amis animaux prenaient soin de la forêt contre les menaces extérieures. Un film animé sympathique, en 3D, qui porte un message à la fois divertissant et constructeur : respectez votre environnement, vos arbres, vos forêts. Ce message n’aurait pu être adressé aux enfants d’une autre manière.
Grand Cinemas ABC/Concorde/Las Salinas/
Saïda Mall, Planète Abraj(version fr.)/City
Complex Tripoli , Kaslik
de Stephen Daldry
Avec Tom Hanks, Sandra Bullock et Max von Sydow.
Oskar Schell, 11 ans, est un jeune New-Yorkais à l’imagination débordante qui entretient une super-relation avec son père où tous deux excellent à se surpasser dans les découvertes scientifiques. Mais lorsque son père disparaît par « accident » (car il n’était pas supposé être à cet endroit) dans une des tours jumelles, l’univers d’Oskar s’effondre. Un an après la mort de son père, l’adolescent découvre une clé dans ses affaires. Déterminé à maintenir un lien avec l’homme qui lui a appris à surmonter ses plus grandes angoisses, il se met en tête de trouver la serrure qui correspond à la mystérieuse clé. Tandis qu’il sillonne la ville pour résoudre l’énigme, le jeune garçon croise toutes sortes d’individus qui, chacun à sa façon, sont des survivants. Par ailleurs, il va découvrir des liens insoupçonnés avec son père qui lui manque terriblement et avec sa mère qui semble si loin de lui, mais aussi avec le monde déconcertant et périlleux qui l’entoure.
Stephen Daldry aime à sonder les univers des adolescents. Il l’avait déjà essayé dans Billy Elliott et cela lui avait réussi. Par la suite, en 2002, son film The Hours, dans un autre registre, aura un Golden Globe pour le meilleur film. Cette fois-ci, il s’attaque à un sujet épineux et sensible : le deuil des parents des victimes des attaques du 9/11. Oliver Stone s’était cassé la gueule dans son film World Trade Center. Stephen Daldry, loin de là, réalise un film juste, sous un angle intéressant. Dommage qu’il verse parfois dans une esthétique maniériste et plombée, lourde, sous la musique d’Alexandre Desplat. Le jeune garçon ? Too much. Sandra Bullock et Tom Hanks : trop absents. Seul Max von Sydow brille par son humilité et sa pudeur.
Grand Cinemas ABC, concorde/las salinas/saïda mall
Mirror, Mirror
de Tarsem Singh
Avec Julia Roberts et Lilie Collins.
Lorsque son père, le roi, meurt, Blanche Neige est en danger. Sa belle-mère, cruelle et avide de pouvoir, l’évince pour s’emparer du trône. Les choses vont encore se compliquer quand la jeune femme attire malgré tout l’attention d’un prince aussi puissant que séduisant. L’horrible marâtre ne lui laisse alors aucune chance et la bannit du royaume. Blanche Neige se réfugie alors dans la forêt. Recueillie par une bande de nains hors la loi au grand cœur, la douce princesse va trouver la force de sauver son royaume des griffes de la méchante reine. Avec l’aide de ses nouveaux amis, elle est décidée à passer à l’action pour reconquérir sa place et le cœur du prince. Telle est l’histoire des frères Grimm qui est reproduite avec beaucoup d’authenticité par l’auteur de The Cell et The Immortals. Si les décors, ou les costumes signés Eiko Ishioka avant qu’elle ne décède dernièrement sont assez fidèles au conte et à son univers avec des incursions bollywoodiennes, comme le grand bal, le personnage de Blanche Neige est ici porteur d’une quête identitaire universelle qui dépasse la simple fable. Au départ, timide et réservée, la jeune fille vit dans ses rêves et s’apparente à la parfaite héroïne naïve des conte de fées, mais peu à peu, cette jeune fille va se forger une personnalité et découvrir la vraie vie. Les nains, pour leur part, n’ont pas de noms, de caractères mais de métiers. Certes, la part belle est donnée à la magnifique Julia Roberts qui, malgré son rôle à contre-emploi de méchante marâtre, demeure la grande Julia.
Grand Cinemas ABC, concorde/las salinas/saïda mall, planète abraj, kaslik
The Lorax,
de Chris Renaud et Kyle Balda
Avec les voix de Danny de Vito et Zac Efron.
Ted a 12 ans et il est prêt à tout pour conquérir la jolie Audrey. Le seul moyen d’y parvenir est de lui offrir un arbre. Sauf qu’il n’en pousse plus depuis belle lurette. Sur les conseils de sa grand-maman, Ted ose s’aventurer à l’extérieur de la cité fortifiée pour trouver un lieu désert. Au fil de son périple, il fait la rencontre d’un mystérieux ermite qui pourrait bien l’aider. Ce dernier lui parle de son passé, de cette époque où le Lorax et ses amis animaux prenaient soin de la forêt contre les menaces extérieures. Un film animé sympathique, en 3D, qui porte un message à la fois divertissant et constructeur : respectez votre environnement, vos arbres, vos forêts. Ce message n’aurait pu être adressé aux enfants d’une autre manière.
Grand Cinemas ABC/Concorde/Las Salinas/
Saïda Mall, Planète Abraj(version fr.)/City
Complex Tripoli , Kaslik
Extremely Loud & Incredibly Closede Stephen Daldry Avec Tom Hanks, Sandra Bullock et Max von Sydow. Oskar Schell, 11 ans, est un jeune New-Yorkais à l’imagination débordante qui entretient une super-relation avec son père où tous deux excellent à se surpasser dans les découvertes scientifiques. Mais lorsque son père disparaît par « accident » (car il n’était pas...
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