Le député Dory Chamoun a souligné hier que « les forces du 14 Mars ont fait leur choix en se solidarisant avec le peuple syrien et avec ses revendications ». Il a dénoncé « la répression sauvage pratiquée par le régime syrien contre son peuple ». Il a également observé que « les dictatures ne sont plus viables après le XXIe siècle, et que le printemps arabe est là pour le prouver ».
Le chef du PNL a aussi indiqué que « l’adoption du plan de l’électricité en Conseil des ministres, après les amendements qui y ont été apportés, a tenu compte de manière précise des remarques des forces du 14 Mars ». Remarques qui ont porté, a-t-il précisé, sur « la crainte du gaspillage des deniers publics, mais aussi sur le refus du chantage politique, des menaces et de la rhétorique belliqueuse auxquels ont recours le général Michel Aoun et son bloc parlementaire depuis deux mois ». Le leader du PNL a affirmé à ce propos que les forces du 14 Mars « se sont opposées à l’adoption du marché douteux du dossier de l’électricité, sur les deux plans technique et juridique ».
M. Chamoun a, de plus, observé que « Michel Aoun s’est habitué à mener des batailles à la Don Quichotte et à prétendre gagner des victoires illusoires ». Il s’est demandé pourquoi le chef du CPL et son gendre n’ont pas pris en compte les remarques du 14 Mars, « au lieu de perdre du temps et de lancer des menaces futiles ».
Concernant le financement du TSL, le leader du PNL a estimé qu’ils « ne peuvent éluder le TSL ni cesser de le financer, d’autant que nul ne peut ignorer la communauté internationale et les décisions des Nations unies ».
Il s’est enfin demandé, évoquant le Hezbollah, « comment la partie qui appelle à la construction d’un État et de ses institutions, et qui prône la souveraineté de l’État sur l’ensemble du territoire, ainsi que l’exclusivité des armes aux mains de la légalité, peut être accusée de trahison. Et ce alors que l’autre partie qui érige un mini-État, qui protège les mini-États, le déploiement des armes et les réseaux illégaux de communication, et qui entrave le processus de construction de l’État, donne aux Libanais des leçons de nationalisme ».
Le chef du PNL a aussi indiqué que « l’adoption du plan de l’électricité en Conseil des ministres, après les amendements qui y ont été apportés, a tenu compte de manière précise des remarques des forces du 14 Mars ». Remarques qui ont porté, a-t-il précisé, sur « la crainte du gaspillage des deniers publics, mais aussi sur le refus du chantage politique, des menaces et de la rhétorique belliqueuse auxquels ont recours le général Michel Aoun et son bloc parlementaire depuis deux mois ». Le leader du PNL a affirmé à ce propos que les forces du 14 Mars « se sont opposées à l’adoption du marché douteux du dossier de l’électricité, sur les deux plans technique et juridique ».
M. Chamoun a, de plus, observé que « Michel Aoun s’est habitué à mener des batailles à la Don Quichotte et à prétendre gagner des victoires illusoires ». Il s’est demandé pourquoi le chef du CPL et son gendre n’ont pas pris en compte les remarques du 14 Mars, « au lieu de perdre du temps et de lancer des menaces futiles ».
Concernant le financement du TSL, le leader du PNL a estimé qu’ils « ne peuvent éluder le TSL ni cesser de le financer, d’autant que nul ne peut ignorer la communauté internationale et les décisions des Nations unies ».
Il s’est enfin demandé, évoquant le Hezbollah, « comment la partie qui appelle à la construction d’un État et de ses institutions, et qui prône la souveraineté de l’État sur l’ensemble du territoire, ainsi que l’exclusivité des armes aux mains de la légalité, peut être accusée de trahison. Et ce alors que l’autre partie qui érige un mini-État, qui protège les mini-États, le déploiement des armes et les réseaux illégaux de communication, et qui entrave le processus de construction de l’État, donne aux Libanais des leçons de nationalisme ».
Le député Dory Chamoun a souligné hier que « les forces du 14 Mars ont fait leur choix en se solidarisant avec le peuple syrien et avec ses revendications ». Il a dénoncé « la répression sauvage pratiquée par le régime syrien contre son peuple ». Il a également observé que « les dictatures ne sont plus viables après le XXIe siècle, et que le printemps arabe est là pour le...