« Sans la victoire de juillet (2006), on aurait vu Israël assassiner des gens tous les jours, procéder à des rafles, paver la voie à l’implantation (des réfugiés palestiniens), favoriser la solution politique qui lui convient, mais peut-être aussi préparer le terrain à l’établissement de colonies au Liban-Sud et dans la Békaa-Ouest », a déclaré cheikh Kassem lors d’une cérémonie en présence de cadres de son parti.
« Ce qui a empêché Israël de faire tout cela, c’est la capacité dissuasive de la résistance. Cela veut dire que la résistance a été un bienfait pour le Liban », a-t-il estimé.
« Le succès de la résistance dans la libération (en 2000) a démontré sa portée nationale. Quant à sa victoire en 2006, elle a démontré sa nécessité. Le Liban n’est pas en mesure à l’heure actuelle de se passer de sa résistance, car elle est le motif de sa fierté et de sa dignité, elle dissuade Israël de l’agresser, elle empêche son territoire d’être le théâtre de l’implantation ou des colonies israéliennes », a-t-il dit.
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