C’est dans un climat régional de grandes transformations politiques dramatiques que se sont déroulées les consultations privées tenues hier par le Conseil de sécurité des Nations unies pour faire le point sur la situation au Moyen-Orient en présence du secrétaire général adjoint pour les Affaires politiques de l’ONU, B. Lynn Pascoe.
Concernant la situation au Liban, le diplomate onusien a évité d’évoquer dans les détails les principaux points de l’actualité, se contentant de rappeler que le cabinet est « composé en grande partie de la coalition du 8 Mars », car le nouveau rapport sur le suivi de l’application de la résolution 1701 devra être « soumis prochainement. » Mais il n’a pas manqué de lancer un avertissement au gouvernement Mikati. « Soyons bien clairs : le secrétaire général s’attend à ce que le nouveau gouvernement réitère ses engagements pour l’entière application de la résolution 1701 du Conseil de sécurité et de toutes les obligations internationales du Liban », a-t-il asséné.
B. Lynn Pascoe a rappelé par ailleurs les incidents survenus près de Tripoli le 18 juin entre sunnites et alaouites à la suite des manifestations contre le régime syrien, relevant que l’afflux de réfugiés syriens au Liban-Nord, estimé à 4 000 personnes à la mi-mai, « n’a pas augmenté début juin en raison notamment des mesures imposées par les autorités de Damas. L’ONU reste en coordination étroite avec le gouvernement libanais pour assister les personnes déplacées, pour assurer leur protection et déterminer leur statut », a-t-il ajouté, relevant au passage la source « d’inquiétude » pour l’ONU que reste la question des réfugiés palestiniens.
Concernant la situation au Liban, le diplomate onusien a évité d’évoquer dans les détails les principaux points de l’actualité, se contentant de rappeler que le cabinet est « composé en grande partie de la coalition du 8 Mars », car le nouveau rapport sur le suivi de l’application de la résolution 1701 devra être « soumis prochainement. » Mais il n’a pas manqué de lancer un avertissement au gouvernement Mikati. « Soyons bien clairs : le secrétaire général s’attend à ce que le nouveau gouvernement réitère ses engagements pour l’entière application de la résolution 1701 du Conseil de sécurité et de toutes les obligations internationales du Liban », a-t-il asséné.
B. Lynn Pascoe a rappelé par ailleurs les incidents survenus près de Tripoli le 18 juin entre sunnites et alaouites à la suite des manifestations contre le régime syrien, relevant que l’afflux de réfugiés syriens au Liban-Nord, estimé à 4 000 personnes à la mi-mai, « n’a pas augmenté début juin en raison notamment des mesures imposées par les autorités de Damas. L’ONU reste en coordination étroite avec le gouvernement libanais pour assister les personnes déplacées, pour assurer leur protection et déterminer leur statut », a-t-il ajouté, relevant au passage la source « d’inquiétude » pour l’ONU que reste la question des réfugiés palestiniens.
C’est dans un climat régional de grandes transformations politiques dramatiques que se sont déroulées les consultations privées tenues hier par le Conseil de sécurité des Nations unies pour faire le point sur la situation au Moyen-Orient en présence du secrétaire général adjoint pour les Affaires politiques de l’ONU, B. Lynn Pascoe.Concernant la situation au Liban, le diplomate...