La pianiste Martina Filjak.
Pour le premier week-end des festivaliers d'al-Bustan, un menu de premier choix. Ce soir, un moment faste pour le clavier et pour l'orchestre avec un concerto et une symphonie.
Sur scène, l'Orchestre symphonique de l'Opéra de Tbilisi dirigé par Gianluca Marciano, maestro officiant la part orchestrale pour ce dix-huitième festival et invité pour la seconde fois à Beit-Méry. En soliste, la nouvelle étoile du clavier Martina Filjak. À garder à l'œil, souligne le programme.
Programme concis, mais dense avec le Concerto n° 1 de Frantz Liszt et la Symphonie n° 4 de Johannes Brahms.
Né à Spezia, en Italie, en 1976, maestro Gianluca Marciano s'est illustré en dirigeant plusieurs orchestres philharmoniques et orchestres de chambre, de Rome à Parme, en passant, entre autres, par la Slovénie, la Roumanie, Kiev et Chelsea.
Née à Zagreb, en Croatie, Martina Filjak a étudié la musique aussi bien à Vienne qu'à Karlsruhe et Rotterdam. Depuis 1993, plusieurs prix couronnent la carrière de la jeune pianiste. Le dernier de ses nombreux trophées, en 2009, est le premier Prix international de Cleveland.
Vaste répertoire de Martina Filjak qui inclut, outre sa virtuosité et sa maîtrise du clavier, plus de trente concertos ainsi qu'une importante part de partitions de musique de chambre et des pages de littérature pianistique en solo. Et cela dans un registre allant des compositeurs du XVIIe siècle aux artistes contemporains.
Pour les amateurs de concertos somptueux et vibrants, voilà un moment idéal pour écouter un des concertos les plus brillants du plus virtuose des princes du clavier, mais aussi le plus controversé, de la période romantique.
Dans la même veine romantique, mais sur un ton plus grave et dramatique, est la déferlante Symphonie n° 4 de J. Brahms.
Sur scène, l'Orchestre symphonique de l'Opéra de Tbilisi dirigé par Gianluca Marciano, maestro officiant la part orchestrale pour ce dix-huitième festival et invité pour la seconde fois à Beit-Méry. En soliste, la nouvelle étoile du clavier Martina Filjak. À garder à l'œil, souligne le programme.
Programme concis, mais dense avec le Concerto n° 1 de Frantz Liszt et la Symphonie n° 4 de Johannes Brahms.
Né à Spezia, en Italie, en 1976, maestro Gianluca Marciano s'est illustré en dirigeant plusieurs orchestres philharmoniques et orchestres de chambre, de Rome à Parme, en passant, entre autres, par la Slovénie, la Roumanie, Kiev et Chelsea.
Née à Zagreb, en Croatie, Martina Filjak a étudié la musique aussi bien à Vienne qu'à Karlsruhe et Rotterdam. Depuis 1993, plusieurs prix couronnent la carrière de la jeune pianiste. Le dernier de ses nombreux trophées, en 2009, est le premier Prix international de Cleveland.
Vaste répertoire de Martina Filjak qui inclut, outre sa virtuosité et sa maîtrise du clavier, plus de trente concertos ainsi qu'une importante part de partitions de musique de chambre et des pages de littérature pianistique en solo. Et cela dans un registre allant des compositeurs du XVIIe siècle aux artistes contemporains.
Pour les amateurs de concertos somptueux et vibrants, voilà un moment idéal pour écouter un des concertos les plus brillants du plus virtuose des princes du clavier, mais aussi le plus controversé, de la période romantique.
Dans la même veine romantique, mais sur un ton plus grave et dramatique, est la déferlante Symphonie n° 4 de J. Brahms.
Pour le premier week-end des festivaliers d'al-Bustan, un menu de premier choix. Ce soir, un moment faste pour le clavier et pour l'orchestre avec un concerto et une symphonie.Sur scène, l'Orchestre symphonique de l'Opéra de Tbilisi dirigé par Gianluca Marciano, maestro officiant la part orchestrale pour ce dix-huitième festival et invité pour la seconde fois à Beit-Méry. En soliste, la...
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