La Mona Lisa Smile.
La semaine dernière, c'était Harry qui était sous les feux des projecteurs. Cette fois, c'est Julia qui est la star.
Bien sûr quand on prononce ce nom dans les milieux cinématographiques, la première personne à laquelle on pense c'est la Roberts, au large sourire. Cette Pretty Woman, tantôt rousse, tantôt brune et parfois blonde, occupe une place de choix dans le septième art. Il suffit qu'elle esquisse son sourire plus beau que celui de Monna Lisa (Mona Lisa Smile) pour éblouir l'écran. Il suffit qu'elle fasse un come-back après une longue absence pour que tous les tapis rouges se déroulent. Julia Roberts a un charme unique. Mais elles sont nombreuses les actrices féminines qui ont revêtu la peau de Julia à l'écran, conférant à ce nom d'autres facettes encore inconnues.
La Julia de Fred Zinnemann des années soixante-dix a les traits de Vanessa Redgrave. On est en 1934. La romancière Lillian Hellman (Jane Fonda) éprouve des difficultés à écrire sa première pièce de théâtre. Pour se donner de l'inspiration, celle-ci se remémore son enfance et, plus particulièrement, son amie Julia. .
Tilda Swinton ramène le nom de Julia à l'écran en 2008 grâce à Eric Zonca. Rousse et l'allure un peu androgyne, elle a ce petit quelque chose qui rappelle néanmoins Vanessa Redgrave. Séductrice et grande gueule, elle a de plus en plus de mal à cacher son alcoolisme et finit par perdre pied. Une rencontre l'entraîne dans un engrenage infernal qui l'amène à kidnapper Tom, un enfant de huit ans. Commence alors une fuite sans issue à travers le sud des États-Unis et qui les conduira jusqu'au Mexique.
Encore une fois, le personnage de Julia nous emmène dans un voyage dans le temps. On est en 1948, Paris. Julia Child suit son mari et emménage dans la capitale française. Ouverte, altruiste et dynamique, elle cherche désespérément une manière d'occuper son temps libre. Presque par hasard, réalisant qu'elle aime par-dessus tout la nourriture, surtout depuis qu'elle vit en France, elle décide de prendre des cours de cuisine. Ce qui donnera un gros livre de 524 recettes de cuisine française concoctées par une Américaine merveilleusement interprétée par... qui d'autre que Meryl Streep ? Ce film est signé Nora Ephron en 2009 et s'intitule Julie & Julia.
Sans oublier que Julia peut être ibère. Dans Les Yeux de Julia, un film de Guillem Morales, Belén Rueda incarne en effet une femme atteinte d'une maladie oculaire qui s'aggrave au moindre choc émotionnel et l'entraîne progressivement vers la cécité. Son mari (Lluís Homar) essaye de la protéger en l'écartant de tout événement qui pourrait la bouleverser.
Alors, intemporelle Julia ?
Bien sûr quand on prononce ce nom dans les milieux cinématographiques, la première personne à laquelle on pense c'est la Roberts, au large sourire. Cette Pretty Woman, tantôt rousse, tantôt brune et parfois blonde, occupe une place de choix dans le septième art. Il suffit qu'elle esquisse son sourire plus beau que celui de Monna Lisa (Mona Lisa Smile) pour éblouir l'écran. Il suffit qu'elle fasse un come-back après une longue absence pour que tous les tapis rouges se déroulent. Julia Roberts a un charme unique. Mais elles sont nombreuses les actrices féminines qui ont revêtu la peau de Julia à l'écran, conférant à ce nom d'autres facettes encore inconnues.
La Julia de Fred Zinnemann des années soixante-dix a les traits de Vanessa Redgrave. On est en 1934. La romancière Lillian Hellman (Jane Fonda) éprouve des difficultés à écrire sa première pièce de théâtre. Pour se donner de l'inspiration, celle-ci se remémore son enfance et, plus particulièrement, son amie Julia. .
Tilda Swinton ramène le nom de Julia à l'écran en 2008 grâce à Eric Zonca. Rousse et l'allure un peu androgyne, elle a ce petit quelque chose qui rappelle néanmoins Vanessa Redgrave. Séductrice et grande gueule, elle a de plus en plus de mal à cacher son alcoolisme et finit par perdre pied. Une rencontre l'entraîne dans un engrenage infernal qui l'amène à kidnapper Tom, un enfant de huit ans. Commence alors une fuite sans issue à travers le sud des États-Unis et qui les conduira jusqu'au Mexique.
Encore une fois, le personnage de Julia nous emmène dans un voyage dans le temps. On est en 1948, Paris. Julia Child suit son mari et emménage dans la capitale française. Ouverte, altruiste et dynamique, elle cherche désespérément une manière d'occuper son temps libre. Presque par hasard, réalisant qu'elle aime par-dessus tout la nourriture, surtout depuis qu'elle vit en France, elle décide de prendre des cours de cuisine. Ce qui donnera un gros livre de 524 recettes de cuisine française concoctées par une Américaine merveilleusement interprétée par... qui d'autre que Meryl Streep ? Ce film est signé Nora Ephron en 2009 et s'intitule Julie & Julia.
Sans oublier que Julia peut être ibère. Dans Les Yeux de Julia, un film de Guillem Morales, Belén Rueda incarne en effet une femme atteinte d'une maladie oculaire qui s'aggrave au moindre choc émotionnel et l'entraîne progressivement vers la cécité. Son mari (Lluís Homar) essaye de la protéger en l'écartant de tout événement qui pourrait la bouleverser.
Alors, intemporelle Julia ?
La semaine dernière, c'était Harry qui était sous les feux des projecteurs. Cette fois, c'est Julia qui est la star. Bien sûr quand on prononce ce nom dans les milieux cinématographiques, la première personne à laquelle on pense c'est la Roberts, au large sourire. Cette Pretty Woman, tantôt rousse, tantôt brune et parfois blonde, occupe une place de choix dans le septième...
commentaires (0)
Commenter