Selon le gouverneur de la Banque centrale syrienne, Adib Mayaleh, la Banque de Syrie envisage d'adopter des politiques qui viseront à encourager l'investissement.
M. Mayaleh, qui s'exprimait au cours d'une conférence de presse tenue à l'occasion de la signature d'un prêt subventionné au Yasmeen Rotana Hotel, a ajouté que dans une récente réunion du Conseil du crédit et de la monnaie, il avait été décidé d'accorder davantage de prêts aux petites et moyennes entreprises (PME). Il n'a toutefois pas précisé les moyens qu'il comptait utiliser pour y arriver.
Les banques syriennes sont souvent critiquées pour leur conservatisme, n'accordant pas assez d'importance aux financements à long terme.
L'an dernier, la Banque centrale a diminué les réserves obligatoires aux banques qui accordaient une grande part de leurs portefeuilles de prêts aux PME. L'efficacité de cette mesure ne peut être encore mesurée.
En vertu du plan sur cinq ans, qui a été lancé au début de l'année, le gouvernement veut attirer près de 49 milliards de dollars pour des investissements dans le secteur privé, ainsi que 42,5 milliards de dollars qu'il souhaite investir dans des projets d'infrastructure. Pour atteindre cet objectif, il a ouvert la voie à la réalisation d'investissements privés dans de nouveaux secteurs, tels que l'énergie et la construction de routes, et a tenté de promouvoir des programmes de Partenariats entre le secteur public et privé (PPP).
Plus tôt cette année, une décision de la Banque centrale nécessitant une augmentation des capitaux des banques avait déjà été perçue par de nombreux analystes comme une étape pour donner les moyens aux banques commerciales de financer ces projets d'infrastructure.
Le directeur général de la Bank Audi en Syrie, Bassel Hamwi, qui s'est exprimé au cours de la même conférence de presse, a affirmé que des projets qui auront lieu en Syrie au cours des deux prochaines années nécessiteront près de 3,5 milliards de dollars de financement. Prenant la défense de sa banque et des différentes banques commerciales, il a également affirmé que 35 % du portefeuille de prêts de la Bank Audi devait servir à financer des projets d'affaires de moyen et long terme.
En coopération avec : The Syria report
M. Mayaleh, qui s'exprimait au cours d'une conférence de presse tenue à l'occasion de la signature d'un prêt subventionné au Yasmeen Rotana Hotel, a ajouté que dans une récente réunion du Conseil du crédit et de la monnaie, il avait été décidé d'accorder davantage de prêts aux petites et moyennes entreprises (PME). Il n'a toutefois pas précisé les moyens qu'il comptait utiliser pour y arriver.
Les banques syriennes sont souvent critiquées pour leur conservatisme, n'accordant pas assez d'importance aux financements à long terme.
L'an dernier, la Banque centrale a diminué les réserves obligatoires aux banques qui accordaient une grande part de leurs portefeuilles de prêts aux PME. L'efficacité de cette mesure ne peut être encore mesurée.
En vertu du plan sur cinq ans, qui a été lancé au début de l'année, le gouvernement veut attirer près de 49 milliards de dollars pour des investissements dans le secteur privé, ainsi que 42,5 milliards de dollars qu'il souhaite investir dans des projets d'infrastructure. Pour atteindre cet objectif, il a ouvert la voie à la réalisation d'investissements privés dans de nouveaux secteurs, tels que l'énergie et la construction de routes, et a tenté de promouvoir des programmes de Partenariats entre le secteur public et privé (PPP).
Plus tôt cette année, une décision de la Banque centrale nécessitant une augmentation des capitaux des banques avait déjà été perçue par de nombreux analystes comme une étape pour donner les moyens aux banques commerciales de financer ces projets d'infrastructure.
Le directeur général de la Bank Audi en Syrie, Bassel Hamwi, qui s'est exprimé au cours de la même conférence de presse, a affirmé que des projets qui auront lieu en Syrie au cours des deux prochaines années nécessiteront près de 3,5 milliards de dollars de financement. Prenant la défense de sa banque et des différentes banques commerciales, il a également affirmé que 35 % du portefeuille de prêts de la Bank Audi devait servir à financer des projets d'affaires de moyen et long terme.
En coopération avec : The Syria report
Selon le gouverneur de la Banque centrale syrienne, Adib Mayaleh, la Banque de Syrie envisage d'adopter des politiques qui viseront à encourager l'investissement.M. Mayaleh, qui s'exprimait au cours d'une conférence de presse tenue à l'occasion de la signature d'un prêt subventionné au Yasmeen Rotana Hotel, a ajouté que dans une récente réunion du Conseil du crédit et de la monnaie, il...