Réception officielle pour le bateau au port de Beyrouth.
Un bateau de croisière hors du commun a fait escale du 14 au 22 octobre dans les ports de Saïda, Beyrouth et Tripoli. Il s'agit d'un véritable retour aux sources dans ces ports phéniciens antiques, car le bateau à voile, fabriqué en bois comme du temps des Phéniciens et baptisé « Phoenicia », a navigué durant deux ans, contournant le continent africain.
Le bateau s'est ainsi arrêté au Liban avant de retourner au port où il a été construit, à Arwad, sur la côte syrienne. Dix membres d'équipage de différentes nationalités étaient à son bord, dont le capitaine anglais Philip Beale. Enchanté par cette expédition qui n'a pas toujours été facile, à cause du mauvais temps et même de pirates les accostant sans préjudice au large de la Somalie, il a ainsi rendu hommage à nos ancêtres les Phéniciens qui passaient leur temps à parcourir les mers. Au large de l'Espagne et du Portugal, le navire a même traversé des courants tentant de l'entraîner de l'autre côté de l'Atlantique, prouvant d'après le capitaine Philip que les Phéniciens ont bien atteint les côtes de l'Amérique.
Le bateau et son équipage ont été reçus officiellement par l'Union libanaise culturelle mondiale, présidée par Eid Chedraoui et dont le secrétaire général Nick Kahwagi se trouve au Canada. Ont participé à l'organisation des réceptions plusieurs représentants de l'ULCM au Liban, comme Antoine Kaddissi, Antoine Menassa et Georges Faddoul, ainsi que des conseillers municipaux et autres responsables civils des villes visitées. Une entrée triomphale a été réservée au bateau à Tripoli, suivie d'un déjeuner privé, puis d'une grande réception autour du bâtiment visité par des centaines d'écoliers.
Parmi les surprises nous attendant, figurait le reporter de l'expédition de nationalité brésilienne, Yuri Sanada, qui affirma avec émotion avoir enfin foulé le sol de ses ancêtres. Le père de Yuri est japonais, mais son grand-père maternel, marié à une Italienne de Gênes (une ville fondée elle aussi par les Phéniciens), était de la famille Curry (Khoury) de Beyrouth !
Toutes les informations de l'expédition se trouvent sur le site : www.phoenicia.org.uk .
Le bateau s'est ainsi arrêté au Liban avant de retourner au port où il a été construit, à Arwad, sur la côte syrienne. Dix membres d'équipage de différentes nationalités étaient à son bord, dont le capitaine anglais Philip Beale. Enchanté par cette expédition qui n'a pas toujours été facile, à cause du mauvais temps et même de pirates les accostant sans préjudice au large de la Somalie, il a ainsi rendu hommage à nos ancêtres les Phéniciens qui passaient leur temps à parcourir les mers. Au large de l'Espagne et du Portugal, le navire a même traversé des courants tentant de l'entraîner de l'autre côté de l'Atlantique, prouvant d'après le capitaine Philip que les Phéniciens ont bien atteint les côtes de l'Amérique.
Le bateau et son équipage ont été reçus officiellement par l'Union libanaise culturelle mondiale, présidée par Eid Chedraoui et dont le secrétaire général Nick Kahwagi se trouve au Canada. Ont participé à l'organisation des réceptions plusieurs représentants de l'ULCM au Liban, comme Antoine Kaddissi, Antoine Menassa et Georges Faddoul, ainsi que des conseillers municipaux et autres responsables civils des villes visitées. Une entrée triomphale a été réservée au bateau à Tripoli, suivie d'un déjeuner privé, puis d'une grande réception autour du bâtiment visité par des centaines d'écoliers.
Parmi les surprises nous attendant, figurait le reporter de l'expédition de nationalité brésilienne, Yuri Sanada, qui affirma avec émotion avoir enfin foulé le sol de ses ancêtres. Le père de Yuri est japonais, mais son grand-père maternel, marié à une Italienne de Gênes (une ville fondée elle aussi par les Phéniciens), était de la famille Curry (Khoury) de Beyrouth !
Toutes les informations de l'expédition se trouvent sur le site : www.phoenicia.org.uk .
Un bateau de croisière hors du commun a fait escale du 14 au 22 octobre dans les ports de Saïda, Beyrouth et Tripoli. Il s'agit d'un véritable retour aux sources dans ces ports phéniciens antiques, car le bateau à voile, fabriqué en bois comme du temps des Phéniciens et baptisé « Phoenicia », a navigué...