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Liban

Washington, Londres et Paris s’inquiètent pour le TSL...

Les États-Unis, la Grande-Bretagne et la France, entre autres, se sont inquiétés avant-hier lundi au Conseil de sécurité de l'ONU d'éventuelles ingérences dans les activités du Tribunal spécial pour le Liban chargé de faire la lumière sur l'assassinat de Rafic Hariri et de ses compagnons.
« Les efforts déployés pour discréditer, nuire ou retarder le travail du tribunal ne doivent pas être tolérés et ceux qui y contribuent n'ont pas le souci de la justice ni des intérêts du Liban », a ainsi affirmé Brooke Anderson, adjointe de l'ambassadeur US à l'ONU, s'adressant au Conseil de sécurité. « Nous sommes préoccupés par la multiplication des déclarations destinées à nuire au TSL », a renchéri le représentant permanent de la Grande-Bretagne, Mark Lyall. Son homologue français, Gérard Araud, lui, a fait écho, indiquant que Paris s'inquiétait des « tensions actuelles, en particulier en ce qui concerne le tribunal ».
Quant à l'ambassadeur russe, Vitali Tchourkine, il a mis en garde contre toute « politisation » des activités du TSL.
Des sources diplomatiques rapportées par l'agence Reuters indiquent que ces déclarations sont « clairement » adressées à Damas et au Hezbollah.
Les États-Unis, la Grande-Bretagne et la France, entre autres, se sont inquiétés avant-hier lundi au Conseil de sécurité de l'ONU d'éventuelles ingérences dans les activités du Tribunal spécial pour le Liban chargé de faire la lumière sur l'assassinat de Rafic Hariri et de ses compagnons.« Les efforts...

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