Le président du Parlement, Nabih Berry, se garde toujours de faire la moindre remarque sur la crise qui secoue le pays, sur fond de polémique autour du Tribunal spécial pour le Liban. Ce sont toujours son entourage et ses visiteurs qui multiplient les commentaires à ce sujet.
Reçu hier par le numéro 2 de l'État, l'ancien ministre des Affaires étrangères, Farès Boueiz, a jugé nécessaire de « parvenir à une solution qui puisse rassurer les détracteurs du TSL sur le fait que le tribunal ne sera pas utilisé pour incriminer une partie en prévision d'une frappe militaire (israélienne), et ses partisans sur le fait que la vérité (sur l'assassinat de Hariri) sera connue ». Selon lui, M. Berry parviendra « au moment opportun à œuvrer pour aboutir à un compromis ».
Par ailleurs, au cours d'une cérémonie organisée dans le village de Wadi Gilo, le député Ali Khreiss a reproché à « certaines parties politiques de ne pas avoir tiré les leçons du passé », et de « continuer de miser sur un soutien externe et sur des changements qui ne vont pas se produire ». Il a jugé nécessaire de revoir l'histoire des événements du Liban « parce que l'ennemi est toujours le même et le frère est le même. Il n'est pas permis de miser sur l'ennemi ou d'essayer de porter atteinte au frère ».
De son côté, de retour de Téhéran, le ministre de la Santé, Mohammad Khalifé, a indiqué que l'Iran soutient le discours politique qui se tient dans le pays, et qui appelle au calme et au rejet de la discorde. Selon lui, les responsables iraniens « pensent qu'une discorde interne serait un grand service rendu à Israël et jugent que les Libanais devraient privilégier le dialogue ».
Pour sa part, le vice-président du Conseil supérieur chiite, cheikh Abdel Amir Kabalan, a exhorté les Libanais à préserver leur pays et à le défendre, jugeant nécessaire de tourner la page du passé et de relancer le dialogue.
Reçu hier par le numéro 2 de l'État, l'ancien ministre des Affaires étrangères, Farès Boueiz, a jugé nécessaire de « parvenir à une solution qui puisse rassurer les détracteurs du TSL sur le fait que le tribunal ne sera pas utilisé pour incriminer une partie en prévision d'une frappe militaire (israélienne), et ses partisans sur le fait que la vérité (sur l'assassinat de Hariri) sera connue ». Selon lui, M. Berry parviendra « au moment opportun à œuvrer pour aboutir à un compromis ».
Par ailleurs, au cours d'une cérémonie organisée dans le village de Wadi Gilo, le député Ali Khreiss a reproché à « certaines parties politiques de ne pas avoir tiré les leçons du passé », et de « continuer de miser sur un soutien externe et sur des changements qui ne vont pas se produire ». Il a jugé nécessaire de revoir l'histoire des événements du Liban « parce que l'ennemi est toujours le même et le frère est le même. Il n'est pas permis de miser sur l'ennemi ou d'essayer de porter atteinte au frère ».
De son côté, de retour de Téhéran, le ministre de la Santé, Mohammad Khalifé, a indiqué que l'Iran soutient le discours politique qui se tient dans le pays, et qui appelle au calme et au rejet de la discorde. Selon lui, les responsables iraniens « pensent qu'une discorde interne serait un grand service rendu à Israël et jugent que les Libanais devraient privilégier le dialogue ».
Pour sa part, le vice-président du Conseil supérieur chiite, cheikh Abdel Amir Kabalan, a exhorté les Libanais à préserver leur pays et à le défendre, jugeant nécessaire de tourner la page du passé et de relancer le dialogue.
Le président du Parlement, Nabih Berry, se garde toujours de faire la moindre remarque sur la crise qui secoue le pays, sur fond de polémique autour du Tribunal spécial pour le Liban. Ce sont toujours son entourage et ses visiteurs qui multiplient les commentaires à ce sujet.Reçu hier par le numéro 2 de l'État, l'ancien ministre des...
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