Le 14 Mars s'est étonné de la position du Hezbollah en faveur de l'ancien directeur de la Sûreté générale, Jamil Sayyed, et a affirmé redouter un plan « programmé et bien étudié » pour réaliser un coup d'État.
Le secrétariat général du 14 Mars a publié hier un communiqué dans lequel il a exprimé « sa surprise » face à l'appel lancé par le Hezbollah aux autorités judiciaires libanaises, à qui il a demandé de revenir sur les décisions prises à l'encontre de l'ancien directeur de la Sûreté générale, Jamil Sayyed, « qui avait sans ambages adressé des menaces directes au chef du gouvernement (Saad Hariri) ainsi qu'à la justice libanaise et aux services de sécurité ».
Après avoir rappelé que l'enquête dans l'affaire de l'assassinat du Premier ministre, Rafic Hariri, « est à son stade final et aux mains du Tribunal spécial sur le Liban », le secrétariat du 14 Mars a estimé que « la position du Hezbollah porte un coup au projet d'édification de l'État et entrave l'action des institutions ». Dans le même ordre d'idées, il s'est interrogé sur le point de savoir si « cette démarche s'inscrit dans le cadre d'un plan programmé et bien étudié au niveau du timing et des circonstances pour parvenir à réaliser un coup d'État à un moment excessivement grave de l'histoire de la région, en pleines négociations de paix ».
« Pour ce qui est des poursuites judiciaires dans des affaires appartenant à une époque révolue, le secrétariat général du 14 Mars rappelle au Hezbollah et à d'autres que la guerre civile a pris fin en 1990 sur base de l'accord de Taëf », poursuit le texte, avant de demander au gouvernement et aux autorités judiciaires de « ne pas revenir sur leurs décisions et d'accomplir leur devoir conformément aux règles, parce que les Libanais soutiennent comme un seul homme les lois, la Constitution et la légalité ».
Le secrétariat général du 14 Mars a publié hier un communiqué dans lequel il a exprimé « sa surprise » face à l'appel lancé par le Hezbollah aux autorités judiciaires libanaises, à qui il a demandé de revenir sur les décisions prises à l'encontre de l'ancien directeur de la Sûreté générale, Jamil Sayyed, « qui avait sans ambages adressé des menaces directes au chef du gouvernement (Saad Hariri) ainsi qu'à la justice libanaise et aux services de sécurité ».
Après avoir rappelé que l'enquête dans l'affaire de l'assassinat du Premier ministre, Rafic Hariri, « est à son stade final et aux mains du Tribunal spécial sur le Liban », le secrétariat du 14 Mars a estimé que « la position du Hezbollah porte un coup au projet d'édification de l'État et entrave l'action des institutions ». Dans le même ordre d'idées, il s'est interrogé sur le point de savoir si « cette démarche s'inscrit dans le cadre d'un plan programmé et bien étudié au niveau du timing et des circonstances pour parvenir à réaliser un coup d'État à un moment excessivement grave de l'histoire de la région, en pleines négociations de paix ».
« Pour ce qui est des poursuites judiciaires dans des affaires appartenant à une époque révolue, le secrétariat général du 14 Mars rappelle au Hezbollah et à d'autres que la guerre civile a pris fin en 1990 sur base de l'accord de Taëf », poursuit le texte, avant de demander au gouvernement et aux autorités judiciaires de « ne pas revenir sur leurs décisions et d'accomplir leur devoir conformément aux règles, parce que les Libanais soutiennent comme un seul homme les lois, la Constitution et la légalité ».
Le 14 Mars s'est étonné de la position du Hezbollah en faveur de l'ancien directeur de la Sûreté générale, Jamil Sayyed, et a affirmé redouter un plan « programmé et bien étudié » pour réaliser un coup d'État.Le secrétariat général du 14 Mars a publié hier un...