À l'église Saint-Louis des capucins, à Bab Idriss, au centre-ville de Beyrouth, ce soir à 20h30, accompagné par l'Orchestre baroque national libanais placé sous la baguette de Michel Khairallah, ce mordu des airs de Vivaldi et Haëndel donnera à écouter un bouquet d'airs où résonneront, outre des pages du Prêtre roux (Nisi Domini) et du compositeur d'Orlando et d'Alcina, des partitions de Saint-Saëns (Samson et Dalila), Léo Delibes (Les filles de Cadix), Donizetti (air de la folie dans Lucia di Lamermoor) ainsi que l'Ave Maria de Giulio Caccini.
Un Ave Maria tout en ferveur qui clôt le concert, chanté par le jeune contre-ténor dans ses prestations antérieures et que le public connaît fort bien pour l'avoir déjà applaudi.
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