La mission libanaise permanente auprès de l'ONU a transmis au ministère des Affaires étrangères une copie de la lettre adressée par le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, au Conseil de sécurité et comprenant les conclusions de la révision technique effectuée par les services concernés du commandement des forces de maintien de la paix à New York avec l'Onust, le commandement de la Finul et les États qui la composent.
Les recommandations qui seront soumises au Conseil de sécurité s'articulent autour de trois points principaux : la création d'une force spéciale pour la ligne bleue, « Blue Line Task Force », l'établissement de balises claires et l'aménagement d'une route technique parallèle.
Les deux gouvernements libanais et israélien ont été informés dans le détail du projet d'établissement d'une unité militaire spéciale de la Finul pour contrôler la ligne bleue et mettre fin aux violations de la résolution 1701.
Le 12 mars prochain, le Conseil des ministres devra examiner les conclusions de la révision technique en présence du représentant du Liban, en sa qualité de membre non permanent, au moment où le commandement militaire examine les mesures pratiques nécessaires pour davantage de coordination au sein de la zone Finul ou tout le long de la ligne bleue.
Selon des sources ministérielles, cette révision a eu lieu à la demande du Conseil de sécurité, sur base da la résolution 1884, et du secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, dans le cadre d'une révision générale des missions des forces de maintien de la paix dans le monde. Elle s'est effectuée en prévision d'un éventuel retrait israélien du secteur de Ghajar et du déploiement d'un contingent de la Finul à la place des forces israéliennes. Dans ce contexte, un intérêt particulier est accordé aux résultats de cette révision en raison de la difficulté de la mission qui attend la Finul dans ce secteur à cause de la situation compliquée du village, habité par des Libanais et par des Syriens, ayant la nationalité israélienne et travaillant en Israël, et qui risque d'être divisé en deux.
Selon les mêmes sources, le ministre de la Défense, Élias Murr, a exposé les résultats des deux révisions avec le secrétaire général de l'ONU lors de sa récente visite à New York le 13 février. Il l'avait également informé du projet de nouvelles permutations au sein de l'armée au Liban-Sud dans le but de renforcer la coordination avec les contingents de la Finul et de consolider, dans le même temps, la capacité de coordination et de liaison tripartite entre la Finul, le Liban et Israël.
De mêmes sources, on indique que cette révision n'implique pas une modification des règles d'engagement de la force internationale ou de ses effectifs, qui nécessitent une nouvelle résolution du Conseil de sécurité.
On souligne aussi que Ban Ki-moon a voulu adresser aux Libanais et aux Israéliens deux messages, à savoir que la Finul ne restera pas éternellement au Liban et que l'armée peut entreprendre la mission aujourd'hui confiée à la Finul maritime si elle est équipée de vedettes et si les militaires sont entraînés aux missions de surveillance.
Les recommandations qui seront soumises au Conseil de sécurité s'articulent autour de trois points principaux : la création d'une force spéciale pour la ligne bleue, « Blue Line Task Force », l'établissement de balises claires et l'aménagement d'une route technique parallèle.
Les deux gouvernements libanais et israélien ont été informés dans le détail du projet d'établissement d'une unité militaire spéciale de la Finul pour contrôler la ligne bleue et mettre fin aux violations de la résolution 1701.
Le 12 mars prochain, le Conseil des ministres devra examiner les conclusions de la révision technique en présence du représentant du Liban, en sa qualité de membre non permanent, au moment où le commandement militaire examine les mesures pratiques nécessaires pour davantage de coordination au sein de la zone Finul ou tout le long de la ligne bleue.
Selon des sources ministérielles, cette révision a eu lieu à la demande du Conseil de sécurité, sur base da la résolution 1884, et du secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, dans le cadre d'une révision générale des missions des forces de maintien de la paix dans le monde. Elle s'est effectuée en prévision d'un éventuel retrait israélien du secteur de Ghajar et du déploiement d'un contingent de la Finul à la place des forces israéliennes. Dans ce contexte, un intérêt particulier est accordé aux résultats de cette révision en raison de la difficulté de la mission qui attend la Finul dans ce secteur à cause de la situation compliquée du village, habité par des Libanais et par des Syriens, ayant la nationalité israélienne et travaillant en Israël, et qui risque d'être divisé en deux.
Selon les mêmes sources, le ministre de la Défense, Élias Murr, a exposé les résultats des deux révisions avec le secrétaire général de l'ONU lors de sa récente visite à New York le 13 février. Il l'avait également informé du projet de nouvelles permutations au sein de l'armée au Liban-Sud dans le but de renforcer la coordination avec les contingents de la Finul et de consolider, dans le même temps, la capacité de coordination et de liaison tripartite entre la Finul, le Liban et Israël.
De mêmes sources, on indique que cette révision n'implique pas une modification des règles d'engagement de la force internationale ou de ses effectifs, qui nécessitent une nouvelle résolution du Conseil de sécurité.
On souligne aussi que Ban Ki-moon a voulu adresser aux Libanais et aux Israéliens deux messages, à savoir que la Finul ne restera pas éternellement au Liban et que l'armée peut entreprendre la mission aujourd'hui confiée à la Finul maritime si elle est équipée de vedettes et si les militaires sont entraînés aux missions de surveillance.
La mission libanaise permanente auprès de l'ONU a transmis au ministère des Affaires étrangères une copie de la lettre adressée par le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon, au Conseil de sécurité et comprenant les conclusions de la révision technique effectuée par les services concernés du commandement...