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Santé

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La Grande-Bretagne veut réduire de moitié le nombre de fumeurs
Les autorités britanniques envisagent d'étendre aux entrées des immeubles l'interdiction de fumer, actuellement en vigueur dans les lieux publics et sur les lieux de travail, dans le cadre d'une série de mesures visant à réduire de moitié le nombre de fumeurs en dix ans.
Londres compte ramener de 21 à 10 % la part des fumeurs dans la population britannique en portant une attention particulière aux jeunes. Cette part a été amputée d'un quart au cours des dix dernières années grâce à des mesures telles que l'interdiction de la publicité, l'ajout de photos montrant les méfaits du tabagisme sur les paquets et l'interdiction de la vente aux mineurs.

Les Égyptiens dépensent 6 % de leurs revenus en tabac
Les Égyptiens dépensent près de 6 % de leurs revenus mensuels en tabac, révèle une enquête menée par l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) en collaboration avec l'institut des statistiques et le ministère de la Santé égyptiens auprès de 23 760 foyers à travers le pays.
« Six pour cent des revenus de la famille (égyptienne) sont dépensés pour le tabac, peut-être plus que pour la santé et l'éducation », souligne Ahmed Abdellatif, un représentant de l'OMS pour l'Égypte.
Les fumeurs dépensent environ 110 livres égyptiennes (20 dollars) par mois pour le tabac, note l'enquête, qui montre que 70 % des personnes interrogées sont exposées au tabagisme passif, notamment chez elles ou sur leur lieu de travail.
« Surprise » de l'enquête, le tabac à mâcher a fait son entrée dans les habitudes des fumeurs égyptiens, 5 % des hommes en consommant.

Les septuagénaires en surpoids vivent plus longtemps
Les septuagénaires en surpoids courent moins de risques de décéder dans les dix ans que ceux dans le même groupe d'âge ayant la ligne, selon une étude menée en Australie et publiée aux États-Unis.
Cette recherche a commencé en 1996 avec 4 677 hommes et 4 563 femmes âgés de 70 à 75 ans, suivis pendant dix ans ou jusqu'à leur décès s'il advenait avant la fin de l'étude. Outre leur indice de masse corporelle (IMC), qui permet d'estimer la quantité de graisse d'une personne, ces chercheurs ont pris en compte leur état de santé et leur mode de vie.
À la fin de l'étude, il est ressorti que ceux ayant un IMC les classant dans la catégorie des personnes en surcharge pondérale avaient une réduction de 13 % du risque de décéder dans les dix ans par rapport à ceux avec un IMC normal.
Toutefois, les auteurs de l'étude n'ont pas constaté de diminution du risque de mortalité chez les sujets de l'étude qui étaient obèses.
La Grande-Bretagne veut réduire de moitié le nombre de fumeursLes autorités britanniques envisagent d'étendre aux entrées des immeubles l'interdiction de fumer, actuellement en vigueur dans les lieux publics et sur les lieux de travail, dans le cadre d'une série de mesures visant à réduire de moitié le nombre de fumeurs en dix...
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