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Cinema- - À l’affiche

Bonnes fêtes  mon cher Watson !

Un « Sherlock Holmes » revisité par Guy Ritchie, une boîte mystérieuse  qu'ouvre Cameron Diaz. Autant de surprises qui explosent à la figure en ces jours de fêtes. Amusez-vous bien.

Robert Downey Jr et Jude Law en Sherlock Holmes et Dr Watson. (DR)

Sherlock Holmes , de Guy Ritchie
Avec Robert Downey Jr, Jude Law et Rachel McAdams.


En même temps que les États-Unis, le Canada et le Québec, Sherlock Holmes, revu et corrigé par le trublion britannique Guy Ritchie, sort dans les salles beyrouthines comme un cadeau de Noël. Un thriller d'aventure et de mystère réalisé par celui qui fut considéré comme le Tarantino anglais, car dans tous ses films il dépoussière les légendes ou en recrée de nouvelles. Robert Downey Jr. dans le rôle du détective légendaire et Jude Law dans celui du fidèle  Watson ; quant à Rachel McAdams, elle interprétera le rôle d'Irene Adler, la seule femme qui a réussi à prendre le dessus sur Holmes et à maintenir une relation passionnée avec le détective : quel casting d'enfer.
Dans un nouveau portrait dynamique des personnages les plus célèbres d'Arthur Conan Doyle, le film  lance Holmes et Watson, son compagnon loyal, dans une nouvelle aventure. Avec des techniques de combat aussi redoutables que l'intelligence légendaire de son héros, l'œuvre, adaptée  de la bande dessinée à l'écran par Lionel Wigram et Michael Robert Johnson, est produite par Joel Silver, Lionel Wigram et Susan Downey, l'épouse de Robert Downey.
 C'est la première fois depuis 20 ans que les cinéphiles auront droit à un long-métrage sur le personnage imaginé par l'écrivain Arthur Conan Doyle. Mais faites attention, c'est un tout nouveau Sherlock Holmes que vous aurez le droit de voir, pas celui de la pipe, du flegme et du « élémentaire Mr Watson », mais celui du drôle, de l'adrénaline et des neurones, bien sûr. Un excellent moment et bien british, mais comme s'amuse à le dire le cinéaste qui n'a pas la langue dans sa poche : British, mais avec du pognon bien américain (la Warner).

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The Box, de Richard Kelly
Avec Cameron Diaz et James Marsden.

 
Que feriez-vous si on frappe un jour à votre porte et qu'on vous offrait une boîte vide en vous donnant le choix de presser un bouton pour une somme modique de 1 million de dollars mais, avec pour seule conséquence, qu'un individu dont vous ne connaissez pas l'identité mourra à cet instant même ? N'hésiterez-vous pas, surtout si vos moyens financiers battent de l'aile ? Nous sommes en 1976. Norma Lewis (Cameron Diaz) est professeur dans une école secondaire privée et son mari Arthur (James Marsden) est un ingénieur qui travaille à la NASA. C'est un couple moyen, menant une vie normale avec leur jeune fils dans la banlieue. Un jour, un homme mystérieux au visage horriblement défiguré offre à Norma la boîte. Avec seulement 24 heures pour prendre leur décision, Norma et Arthur se retrouvent devant un dilemme moral impossible. Quelle que soit leur décision, ils ne se rendent pas compte que des conséquences terrifiantes auront déjà été déclenchées et que la situation est hors de contrôle.
Ce qui est intéressant pour Kelly, c'est de montrer que nous sommes tous responsables de nos actions et chaque acte influe sur les autres. D'autres allusions, à Sartre par exemple, évoquent l'adage « l'enfer c'est les autres » et donnent à l'œuvre une dimension philosophique. Tout comme le handicap physique de Diaz, en parallèle avec celui de Frank Langella. 
 The Box se déroule dans les années 1970, à une époque où le fait de pousser un bouton signifiait quelque chose et était un acte délibéré. Le cinéaste insiste aussi sur la date, car c'est en 1976 que la NASA a envoyé la première sonde robotisée sur la planète Mars avec la mission Viking. Richard Kelly tient à souligner que  « The Box n'est pas un film violent, ni gore. C'est un thriller un peu rétro, qui ressemble aux films que je voyais quand j'étais un enfant ». En effet, les personnages nous rappellent les premiers pas de science-fiction à l'écran, à l'époque où on ne savait comment la représenter. Sauf qu'à la fin, ayant emprunté plusieurs labyrinthes, le réalisateur a fini par s'y perdre lui-même ou par nous perdre tout simplement. 
 
Planète zouk/abraj, Cinémacity, empire dunes/sodeco
Sherlock Holmes , de Guy Ritchie Avec Robert Downey Jr, Jude Law et Rachel McAdams.En même temps que les États-Unis, le Canada et le Québec, Sherlock Holmes, revu et corrigé par le trublion britannique Guy Ritchie, sort dans les salles beyrouthines comme un cadeau de Noël. Un thriller d'aventure et de mystère réalisé par celui qui...

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