Rechercher
Rechercher

Liban

Spectacles de désolation dans les régions après les pluies diluviennes

Au terme de plus de quarante-huit heures de pluies torrentielles, l'heure était au bilan ce week-end, alors que les régions sinistrées émergeaient, avec grand-peine, du cauchemar des jours précédents. Au Akkar, c'est un véritable cauchemar qu'ont vécu les habitants, plus spécifiquement ceux des villages de Hakr el-Dahiri, Sammakiyé et Arida, inondés par les eaux du fleuve Nahr el-Kébir. Après avoir quitté son lit, le fleuve n'a pas seulement noyé les champs agricoles, détruisant au passage les cultures, mais il s'est invité dans les maisons, les commerces et sur les routes, bloquant des habitants chez eux, forçant des villageois à fuir leurs maisons ou à se réfugier dans les étages supérieurs.
Le spectacle était le même dans de nombreuses régions libanaises, où l'eau a parfois atteint plusieurs mètres de hauteur. Dans la Békaa, au moins trois mille dounoms de plantations ont été endommagés et de nombreuses habitations ont été noyées sous les eaux. Dans l'Iklim el-Kharroub, les routes étaient impraticables. Certaines étaient transformées en lacs. D'autres étaient bloquées par des rochers transportés par les eaux boueuses. Dans le Chouf, mêmes inondations, mêmes glissements de terrains, mêmes débordements de rivières. D'autres régions, comme les routes côtières du Metn ou de Jiyé, ou certains quartiers de Beyrouth, ont également été inondées. Pour ne citer que ces quelques régions.
Au terme de plus de quarante-huit heures de pluies torrentielles, l'heure était au bilan ce week-end, alors que les régions sinistrées émergeaient, avec grand-peine, du cauchemar des jours précédents. Au Akkar, c'est un véritable cauchemar qu'ont vécu les habitants, plus spécifiquement ceux des villages de Hakr el-Dahiri,...

commentaires (0)

Commentaires (0)

Retour en haut