La députée Nayla Tuéni a lancé hier un appel au Premier ministre désigné Saad Hariri, l'invitant à « mettre un terme aux tergiversations et à former un gouvernement dans le respect de l'unité nationale », affirmant que « la majorité », qui a gagné les élections, ne pliera pas et ne s'avouera pas vaincue ».
Dans une entrevue accordée à La Voix du Liban, la députée a exhorté M. Hariri « à déterminer le quota de l'opposition. À ce moment-là, si celle-ci veut participer, tant mieux. Sinon, qu'elle assume alors la responsabilité du blocage et que l'opinion publique soit juge ». Mme Tuéni a précisé que « la majorité n'a plus grand-chose à offrir ».
« Il est honteux de continuer d'affirmer que la décision de la formation du gouvernement relève de l'extérieur, et plus précisément de la relation qui prévaut entre la Syrie et l'Arabie saoudite, ou d'autres excuses. Après le long chemin parcouru, les Libanais doivent désormais être souverains et prendre eux-mêmes la décision », a-t-elle déclaré.
Mme Tuéni, qui a en outre estimé que les armes du Hezbollah « ne sont pas sacrées », a appelé à mettre en place « une stratégie de défense qui prévoit la remise des armes du parti chiite à l'armée libanaise, laquelle doit exclusivement détenir les armes ». Lors de son entretien, la députée a affirmé qu'elle était « indépendante, non partisane, mais qu'elle faisait partie des forces du 14 Mars ». Précisant qu'elle soutient le principe du « Liban d'abord », elle a assuré qu'elle ne fera jamais partie des « centristes ».
Dans une entrevue accordée à La Voix du Liban, la députée a exhorté M. Hariri « à déterminer le quota de l'opposition. À ce moment-là, si celle-ci veut participer, tant mieux. Sinon, qu'elle assume alors la responsabilité du blocage et que l'opinion publique soit juge ». Mme Tuéni a précisé que « la majorité n'a plus grand-chose à offrir ».
« Il est honteux de continuer d'affirmer que la décision de la formation du gouvernement relève de l'extérieur, et plus précisément de la relation qui prévaut entre la Syrie et l'Arabie saoudite, ou d'autres excuses. Après le long chemin parcouru, les Libanais doivent désormais être souverains et prendre eux-mêmes la décision », a-t-elle déclaré.
Mme Tuéni, qui a en outre estimé que les armes du Hezbollah « ne sont pas sacrées », a appelé à mettre en place « une stratégie de défense qui prévoit la remise des armes du parti chiite à l'armée libanaise, laquelle doit exclusivement détenir les armes ». Lors de son entretien, la députée a affirmé qu'elle était « indépendante, non partisane, mais qu'elle faisait partie des forces du 14 Mars ». Précisant qu'elle soutient le principe du « Liban d'abord », elle a assuré qu'elle ne fera jamais partie des « centristes ».
La députée Nayla Tuéni a lancé hier un appel au Premier ministre désigné Saad Hariri, l'invitant à « mettre un terme aux tergiversations et à former un gouvernement dans le respect de l'unité nationale », affirmant que « la majorité », qui a gagné les...
commentaires (0)
Commenter