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Économie

Brèves

Najdeh pour une taxe de cinq mille livres sur l’essence

 

Le président de l’Union des syndicats des chauffeurs de taxi, Abdel-Amir Najdeh, a vivement critiqué l’échelle des prix des produits pétroliers publié chaque semaine par le ministère de l’Énergie et de l’Eau. Ainsi il a recommandé que la taxe imposée par l’État sur le bidon d’essence ne dépasse pas les cinq mille livres « afin que les chauffeurs de taxi puissent gagner dignement leur vie ».

Coupure de courant dimanche au Liban-Nord

 

La compagnie de l’Électricité du Liban-Nord a annoncé qu’en raison de travaux de maintenance sur les lignes de haute tension à Bohsas et Mina, le courant électrique sera coupé dimanche prochain de 6h du matin à 13h dans les région de Bohsas, Mina, Bab el-Tebbaneh, Bab el-Raml, Abi Samra, Maarad, Kobbeh et Baal Mohsen.

Une délégation de la cimenterie nationale chez Aridi

 

Le ministre des Travaux publics et du Transport, Ghazi Aridi, a présidé hier une série de réunions axées sur les besoins de différentes régions en termes de nouvelles routes et de murs de soutènement. Il a également conféré avec une délégation de la société de cimenterie nationale conduite par Jean Khoury.

 

Obama veut un fonds de garantie des banques pour les investissements risqués


Le président américain Barack Obama a proposé mercredi que les banques créent un fonds de garantie pour leurs investissements les plus hasardeux, afin d'éviter que le gouvernement ait de nouveau à voler à leur secours. Questionné sur la possibilité d'imposer des frais de transaction sur les produits financiers hasardeux, le président américain a rappelé que l'Agence fédérale américaine de garantie des dépôts bancaires protège les fonds que les Américains confient à leurs banques. « Nous devons nous assurer qu'un mécanisme similaire est mis en place pour certaines de ces transactions exotiques », a-t-il ajouté. M. Obama a rappelé que le gouvernement fédéral avait dû injecter des centaines de milliards de dollars pour stabiliser le secteur financier à l'automne dernier, se félicitant que certaines banques aient commencé à rembourser les fonds fédéraux. « Mais ce que nous n'avons pas vu, à mon avis, c'est un changement de comportement et de pratiques à Wall Street », a-t-il regretté.

La Fed ne veut plus répéter l'expérience AIG


Un dirigeant de la Réserve fédérale des États-Unis a affirmé hier au Congrès que la banque centrale ne voulait plus répéter l'expérience AIG qui l'avait vu contrainte à assumer la responsabilité du sauvetage de l'assureur, en l'absence d'une autorité compétente pour cela. La Fed « n'est pas bien placée et ne cherche pas à servir d'administration chargée du redressement des institutions systémiquement importantes dans le cadre de la nouvelle architecture » de la régulation financière, a expliqué, lors d'une audition au Sénat, l'un des gouverneurs de la Fed, Daniel Tarullo. La réforme de la régulation financière présentée par le président Obama cherche à éviter la répétition de ce scénario, d'abord en surveillant plus étroitement les activités des institutions financières majeures, ensuite en instituant une autorité publique chargée du redressement, hors du cadre de la loi sur les faillites, de celles qui menacent de s'effondrer. « Après les expériences Lehman et AIG, il y a peu de doutes qu'il faille une troisième possibilité autre que le choix entre une faillite et un sauvetage » public, a avancé le gouverneur. M. Tarullo a suggéré aux parlementaires que l'autorité publique chargée du redressement des institutions en danger ait le pouvoir d' « exiger que les actionnaires supportent les pertes et que soit restituée aux créanciers au moins la valeur liquidative de leurs créances ». Il a souhaité que l'État puisse « imposer des ajustements aux créanciers et aux actionnaires de la société concernée, soit directement, soit en transmettant l'institution à une nouvelle entité, quand cela est cohérent, avec le but suprême de protéger le système financier et l'économie en général ».

Europe : possible nouvelle crise du gaz cet hiver

 

Le commissaire européen à l'Énergie Andris Piebalgs n'exclut pas une nouvelle crise d'approvisionnement de gaz en Europe à l'hiver, au regard des difficultés de paiement de l'Ukraine, pays-clef de transit de 80 % du gaz russe vers l'UE. « Nous considérons que la possibilité d'une rupture d'approvisionnement existe », a-t-il déclaré. Ce gaz russe représente 5 % de l'approvisionnement énergétique total de l'UE, a-t-il rappelé. « C'est considérable », juge-t-il. L'Ukraine, en quête d'un prêt pour payer ses factures de gaz russe, doit rencontrer aujourd'hui à Kiev les institutions financières internationales, qui ont exigé plus de détails sur les réformes promises. « Les Ukrainiens, soucieux de rester la principale route de transit de gaz vers l'UE, ont tout intérêt à prouver qu'ils sont fiables », juge-t-il. Aucun des ministres de l'Énergie interrogés en marge de la réunion d'Aare ne souhaitait spéculer sur le résultat des courses, marqué d'un grand point d'interrogation. Début janvier, les Européens avaient subi une longue interruption des livraisons russes au milieu de l'hiver en raison d'un conflit entre Kiev et Moscou.

Najdeh pour une taxe de cinq mille livres sur l’essence
 
Le président de l’Union des syndicats des chauffeurs de taxi, Abdel-Amir Najdeh, a vivement critiqué l’échelle des prix des produits pétroliers publié chaque semaine par le ministère de l’Énergie et de l’Eau. Ainsi il a recommandé que la...

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