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Culture - Festival de Zouk

Quand Garou fait son Garou

C'est par une soirée très « rauque and roll », en somme, que Zouk a entamé son mois de festivités. Bienvenue à Garouland.
Ce soir-là, les spectateurs de l'amphithéâtre de Zouk ont passé un moment musical simple, décontracté, efficace. Garou a fait son Garou. Fidèle à lui-même, à sa réputation de charmeur de ces dames. Authentique dans sa manière de s'adresser à son public. De leur raconter des anecdotes de son enfance, de parodier son père imitant Elvis et se moquant gentiment de sa mère qui le poussait, enfant, à chanter Little Be (comprendre Let it be), des Beatles.
Oiseau de nuit ou, comme on dit en bon québécois, adepte du « bar hopping » (activité qui consiste à cabrioler de bar en bar, sans doute une déformation professionnelle chez lui puisqu'à ses débuts, Garou a écumé de nombreuses boîtes avant de connaître la célébrité avec la comédie musicale Notre-Dame de Paris), Garou est apparu ce soir-là comme un crooner kitch, un cabotin assez doué, plutôt qu'un chanteur de variétés françaises.
La soirée évoluant sur un fil entre pop et rock, Garou n'a pas caché son plaisir d'être là. Le public non plus, d'ailleurs.
Au final, une remarque, par ailleurs. On ne le dira jamais assez. La présence du chef de l'État Michel Sleiman aux soirées d'inauguration des festivals d'été est ô combien appréciable et bénéfique au moral des troupes. Même si, pour des raisons de sécurité parfaitement compréhensibles, elle occasionne des chamboulements dans la logistique de stationnement. 
Ce soir-là, les spectateurs de l'amphithéâtre de Zouk ont passé un moment musical simple, décontracté, efficace. Garou a fait son Garou. Fidèle à lui-même, à sa réputation de charmeur de ces dames. Authentique dans sa manière de s'adresser à son public. De leur raconter des anecdotes de son enfance, de...

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