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Nos Lecteurs ont la Parole

Les lecteurs ont voix au chapitre

Une plaie à deux roues

Derrière votre volant, sifflotant le bonheur de voir les rues de la ville dégagées et la circulation assez fluide pour vous permettre d'arriver rapidement à votre destination, vous voyez  soudain arriver un bolide en sens contraire. Pour éviter une collision certaine, vous freinez brusquement, provoquant un beau carambolage. Le bolide à deux roues s'est entre-temps volatilisé et vous voilà à attendre, dans une cacophonie de klaxons et sous une pluie battante, le verdict de l'expert, appelé d'urgence. Bien entendu, il s'avère que vous êtes fautif et payerez les dégâts occasionnés. Mais le comble, c'est d'entendre que vous vous en êtes tiré à bon compte, car si vous aviez blessé, ou pire encore, tué le livreur express, la condamnation aurait été autrement plus grave.
Ce scénario n'est qu'une variante. J'aurai pu vous raconter l'histoire de cette dame qui s'est retrouvée par terre hurlant de douleur et allégée de son sac. Ou encore de celle qui, frôlée sur le trottoir par ces fameux scooters a réalisé un peu tard que son portefeuille avait été subtilisé.
Cette plaie à deux-roues devient empoisonnante et il serait temps de réglementer d'une manière plus ferme la circulation de ces engins qui sèment la panique dans les rues de la ville, quitte à pénaliser les nombreuses firmes qui les emploient.

Dolly TALHAMÉ

Assourdissante Beyrouth

La lettre que nous publions ci-dessous est d'un touriste qui réside pour la deuxième fois à Beyrouth, ville qui lui « plaît énormément ».
« Je loge dans un hôtel familial et fort agréable, où le personnel est très sympathique, accueillant et dévoué. C'est le « Talal Hotel », qui vient d'emménager en face du club « Basement ». Le problème, c'est que nous sommes logés au-dessus d'un autre établissement, le « Wonderclub » où, à cause d'un problème flagrant d'insonorisation, il est difficile de s'endormir, les vibrations secouant tout l'étage. D'autant plus que le local demeure ouvert de 3 heures à 10 heures... Circonstance aggravante, il existe une autre pension qui a les mêmes puissances sonores.
« Et c'est ainsi, tous les vendredis et samedis, malgré les tentatives de la direction de l'hôtel pour trouver un arrangement avec le club. Résultats : les clients fuient, ne voulant plus rester là dans de telles conditions.
C'est bien dommage, car il s'agit d'un hôtel bon marché, où toutes les nationalités se retrouvent. Et comme il n'existe pas à Beyrouth beaucoup d'hôtels de ce genre, les clients se rendent à Damas...»
Une plaie à deux rouesDerrière votre volant, sifflotant le bonheur de voir les rues de la ville dégagées et la circulation assez fluide pour vous permettre d'arriver rapidement à votre destination, vous voyez  soudain arriver un bolide en sens contraire. Pour éviter une collision certaine, vous freinez brusquement, provoquant un beau...

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