Un atelier de formation sur le droit humanitaire international, mis en place par le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) et par la Ligue des États arabes, se tient depuis hier à Beyrouth. Il s'agit pour les organisateurs de promouvoir la connaissance du droit humanitaire international, né avec les conventions de Genève, et que le CICR a pour vocation de faire respecter, autant que possible, dans le monde.
Représentants de gouvernement, policiers, enseignants, universitaires : ils sont soixante à avoir fait le déplacement en provenance de dix-neuf pays, de l'Iran au Maroc. Cette onzième édition du séminaire, qui se tient deux fois par an depuis 2004, est la première à réunir des représentants de l'administration publique et des membres du milieu académique. Au début du mois de février s'était tenu un atelier similaire, destiné à former des formateurs en droit humanitaire international - ces derniers, issus de seize États arabes, devaient ensuite rentrer dans leur pays et promouvoir cet enseignement dans les milieux gouvernementaux.
M. Khaled, membre de l'administration publique koweïtienne, participe au séminaire qui s'est ouvert hier. Lors de la cérémonie d'inauguration, il s'est dit enthousiaste à l'idée d'obtenir une formation complète au sujet du droit humanitaire international : « Je pense que le droit est respecté dans mon pays, a-t-il expliqué, mais il est essentiel de savoir exactement ce dont il s'agit pour pouvoir rester sur ses gardes et éviter toute dérive. »
À terme, le but de ces ateliers de formation est de sensibiliser les participants à la culture du droit humanitaire, et de faire en sorte qu'ils incitent leurs gouvernements respectifs à ratifier les différentes conventions de Genève et à les mettre en œuvre au niveau de la législation. L'ouverture des séminaires aux cercles académiques a pour objectif de faire intégrer un cours de droit humanitaire dans les facultés de droit de la région.
Représentants de gouvernement, policiers, enseignants, universitaires : ils sont soixante à avoir fait le déplacement en provenance de dix-neuf pays, de l'Iran au Maroc. Cette onzième édition du séminaire, qui se tient deux fois par an depuis 2004, est la première à réunir des représentants de l'administration publique et des membres du milieu académique. Au début du mois de février s'était tenu un atelier similaire, destiné à former des formateurs en droit humanitaire international - ces derniers, issus de seize États arabes, devaient ensuite rentrer dans leur pays et promouvoir cet enseignement dans les milieux gouvernementaux.
M. Khaled, membre de l'administration publique koweïtienne, participe au séminaire qui s'est ouvert hier. Lors de la cérémonie d'inauguration, il s'est dit enthousiaste à l'idée d'obtenir une formation complète au sujet du droit humanitaire international : « Je pense que le droit est respecté dans mon pays, a-t-il expliqué, mais il est essentiel de savoir exactement ce dont il s'agit pour pouvoir rester sur ses gardes et éviter toute dérive. »
À terme, le but de ces ateliers de formation est de sensibiliser les participants à la culture du droit humanitaire, et de faire en sorte qu'ils incitent leurs gouvernements respectifs à ratifier les différentes conventions de Genève et à les mettre en œuvre au niveau de la législation. L'ouverture des séminaires aux cercles académiques a pour objectif de faire intégrer un cours de droit humanitaire dans les facultés de droit de la région.
Un atelier de formation sur le droit humanitaire international, mis en place par le Comité international de la Croix-Rouge (CICR) et par la Ligue des États arabes, se tient depuis hier à Beyrouth. Il s'agit pour les organisateurs de promouvoir la connaissance du droit humanitaire international, né avec les conventions de Genève, et que le CICR a pour vocation de...