Le partenariat était au rendez-vous annuel des chefs d'établissement scolaires et des responsables de l'Université Saint-Joseph, une rencontre, à laquelle une centaine de représentants de 60 établissements scolaires ont assisté, dans le souci d'assurer une transition fructueuse entre l'école et l'université.
Le rendez-vous s'est tenu cette année sur le campus des sciences et technologies de Mar Roukoz, moins connu peut-être que les campus de Beyrouth, mais tout aussi bien équipé et un peu plus spacieux.
Accueillant les chefs d'établissement réunis dans l'amphithéâtre Jean-Ducruet, le recteur a parlé du grand souci commun des éducateurs, qu'ils soient à l'école ou à l'université, celui de « guider les jeunes vers leur avenir », dans l'exigence de l'excellence académique, certes, mais aussi « du respect de l'autre, des besoins des moins favorisés et de la reconstruction du pays ». « Dans cette mission, vous êtes nos partenaires privilégiés », a-t-il encore dit aux chefs d'établissements scolaires présents.
C'est le Pr Henri Awit, vice-recteur aux affaires académiques, qui devait entrer dans le vif du sujet, et présenter aux éducateurs présents « les actualités de l'université ». Il a notamment avancé deux chiffres significatifs à cet égard, celui du taux d'encadrement administratif et académique offert par l'USJ à ses étudiants. Avec un personnel administratif de 500 personnes et environ 2 000 professeurs et enseignants, l'USJ, a-t-il dit, offre respectivement un taux d'encadrement de 1 pour 22 étudiants et de 1 pour 6 étudiants.
Au passage, et si l'on excepte l'Université libanaise, il indique que l'USJ avec 11 207 inscrits cette année, compte le plus grand effectif d'étudiants au Liban.
Par ailleurs, M. Awit parlera des langues enseignées à l'USJ, soulignant que l'une de ses spécificités est de doter ses diplômés dans les trois langues (arabe, français et anglais), ce qui répond à « des choix culturels fondamentaux inscrits dans sa charte ».
Évoquant les trois tests d'aptitude prévus pour les étudiants, M. Awit a affirmé qu'un test d'aptitude en arabe, indicatif mais non sélectif, sera introduit à l'échelle de toute l'université, pour évaluer les besoins d'une mise à niveau.
« Une langue, a-t-il expliqué, c'est une ouverture à une culture, en même temps qu'un atout compétitif majeur qui facilite la mobilité professionnelle et sociale.
Du reste, parlant d'expérience, le vice-recteur a affirmé qu'un diplôme de l'USJ est pratiquement « une assurance d'emploi »
M. Awit expliquera aussi le système des bourses à l'Université et la philosophie derrière les scolarités modérées qui peuvent représenter, à qualité égale, la moitié, voire le tiers des scolarités exigées ailleurs, dans le souci de la diversification du recrutement des étudiants. Il parle aussi des réalisations du service social de l'université, qui est au cœur de sa charte, ainsi que des 150 conventions de coopération qui la lient à des universités et instituts répartis sur une vingtaine de pays.
L'Opération 7e jour, programme d'engagement citoyen de l'université, a été présélectionnée pour le Mcjannet Prize for Global Citizenship, a-t-il annoncé
M. Awit sera suivi au micro par M. Wajdi Najem, doyen de la faculté d'ingénierie, qui parlera des divers types d'admissions à l'USJ, en particulier sur concours ou sur dossier, et annoncera la date du prochain concours d'entrée à la faculté de médecine (28 février). Dans cette faculté, a-t-il précisé, l'admission sur dossier n'a plus cours.
De son côté, Stephane Bazan, directeur de l'unité des nouvelles technologies éducatives, a parlé de ce domaine de pointe, expliquant comment, dans un souci pédagogique, ces technologies s'étendent progressivement à tous les domaines d'enseignement à l'USJ.
Enfin, M. Ghassan Abi Zeid Daou, secrétaire général de l'USJ et directeur du service étudiant d'information et d'orientation, a parlé d'un « forum des écoles », un espace de communication informatique en cours de développement, qui doit faciliter grandement la communication entre les écoles et l'USJ.
La matinée a été conclue par un déjeuner offert par l'Atelier, restaurant d'application de l'institut de gestion, section hôtellerie.
Le rendez-vous s'est tenu cette année sur le campus des sciences et technologies de Mar Roukoz, moins connu peut-être que les campus de Beyrouth, mais tout aussi bien équipé et un peu plus spacieux.
Accueillant les chefs d'établissement réunis dans l'amphithéâtre Jean-Ducruet, le recteur a parlé du grand souci commun des éducateurs, qu'ils soient à l'école ou à l'université, celui de « guider les jeunes vers leur avenir », dans l'exigence de l'excellence académique, certes, mais aussi « du respect de l'autre, des besoins des moins favorisés et de la reconstruction du pays ». « Dans cette mission, vous êtes nos partenaires privilégiés », a-t-il encore dit aux chefs d'établissements scolaires présents.
C'est le Pr Henri Awit, vice-recteur aux affaires académiques, qui devait entrer dans le vif du sujet, et présenter aux éducateurs présents « les actualités de l'université ». Il a notamment avancé deux chiffres significatifs à cet égard, celui du taux d'encadrement administratif et académique offert par l'USJ à ses étudiants. Avec un personnel administratif de 500 personnes et environ 2 000 professeurs et enseignants, l'USJ, a-t-il dit, offre respectivement un taux d'encadrement de 1 pour 22 étudiants et de 1 pour 6 étudiants.
Au passage, et si l'on excepte l'Université libanaise, il indique que l'USJ avec 11 207 inscrits cette année, compte le plus grand effectif d'étudiants au Liban.
Par ailleurs, M. Awit parlera des langues enseignées à l'USJ, soulignant que l'une de ses spécificités est de doter ses diplômés dans les trois langues (arabe, français et anglais), ce qui répond à « des choix culturels fondamentaux inscrits dans sa charte ».
Évoquant les trois tests d'aptitude prévus pour les étudiants, M. Awit a affirmé qu'un test d'aptitude en arabe, indicatif mais non sélectif, sera introduit à l'échelle de toute l'université, pour évaluer les besoins d'une mise à niveau.
« Une langue, a-t-il expliqué, c'est une ouverture à une culture, en même temps qu'un atout compétitif majeur qui facilite la mobilité professionnelle et sociale.
Du reste, parlant d'expérience, le vice-recteur a affirmé qu'un diplôme de l'USJ est pratiquement « une assurance d'emploi »
M. Awit expliquera aussi le système des bourses à l'Université et la philosophie derrière les scolarités modérées qui peuvent représenter, à qualité égale, la moitié, voire le tiers des scolarités exigées ailleurs, dans le souci de la diversification du recrutement des étudiants. Il parle aussi des réalisations du service social de l'université, qui est au cœur de sa charte, ainsi que des 150 conventions de coopération qui la lient à des universités et instituts répartis sur une vingtaine de pays.
L'Opération 7e jour, programme d'engagement citoyen de l'université, a été présélectionnée pour le Mcjannet Prize for Global Citizenship, a-t-il annoncé
M. Awit sera suivi au micro par M. Wajdi Najem, doyen de la faculté d'ingénierie, qui parlera des divers types d'admissions à l'USJ, en particulier sur concours ou sur dossier, et annoncera la date du prochain concours d'entrée à la faculté de médecine (28 février). Dans cette faculté, a-t-il précisé, l'admission sur dossier n'a plus cours.
De son côté, Stephane Bazan, directeur de l'unité des nouvelles technologies éducatives, a parlé de ce domaine de pointe, expliquant comment, dans un souci pédagogique, ces technologies s'étendent progressivement à tous les domaines d'enseignement à l'USJ.
Enfin, M. Ghassan Abi Zeid Daou, secrétaire général de l'USJ et directeur du service étudiant d'information et d'orientation, a parlé d'un « forum des écoles », un espace de communication informatique en cours de développement, qui doit faciliter grandement la communication entre les écoles et l'USJ.
La matinée a été conclue par un déjeuner offert par l'Atelier, restaurant d'application de l'institut de gestion, section hôtellerie.
Le partenariat était au rendez-vous annuel des chefs d'établissement scolaires et des responsables de l'Université Saint-Joseph, une rencontre, à laquelle une centaine de représentants de 60 établissements scolaires ont assisté, dans le souci d'assurer une transition fructueuse entre l'école et l'université.Le rendez-vous s'est tenu...