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Quand Christofle raconte l’amitié

C’est l’histoire d’une rencontre. À l’exposition des Arts décoratifs en 1925 à Paris, Gio Ponti, figure parmi les plus mythiques de l’architecture et du design du XXe siècle, et Tony Bouilhet, héritier et directeur à l’époque de l’orfèvrerie Christofle, se croisent et ne se quittent plus. En cinquante ans d’amitié et d’affinités artistiques, des dizaines de pièces dessinées par « l’architetto » et réalisées par l’un des fleurons du luxe et de l’élégance française sont parfois restées méconnues. Avec le lancement de la collection « Reflets d’amitié », l’orfèvre rend hommage à l’artiste en éditant ou rééditant ses créations poétiques, révélant à la fois un héritage artistique et l’inscription depuis toujours de la marque dans un courant de grande modernité. Christofle a souvent associé son nom aux plus grands créateurs. Man Ray, Jean Cocteau, Roger Tallon, Andrée Putman, Martin Szekely ont laissé leur empreinte dans l’histoire de ses collections.
C’est l’histoire d’une rencontre. À l’exposition des Arts décoratifs en 1925 à Paris, Gio Ponti, figure parmi les plus mythiques de l’architecture et du design du XXe siècle, et Tony Bouilhet, héritier et directeur à l’époque de l’orfèvrerie Christofle, se croisent et ne se quittent plus. En cinquante ans d’amitié et d’affinités artistiques, des dizaines...