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Actualités - CHRONOLOGIE

Entre parenthèses La guerre des étoiles de Colette KHALAF

Non, ce n’est pas le nouvel opus de Georges Lucas ni même un autre film de science-fiction, mais bien une autre bataille qui fait rage, non pas galactique cette fois, mais dirait-on… stellaire. Depuis que le journal s’est doté d’une nouvelle maquette, la section Cinéma de l’agenda journalier s’est vu d’abord amputer de ses étoiles. Mea culpa. Mea culpa. La rédaction a dû rectifier le tir à la demande des lecteurs qui s’étaient retrouvés d’un jour à l’autre « anétoilisés ». Encore un peu, ils dormiraient à la belle étoile pour jouir d’au moins une. En dépit de la page désormais à ciel étoilé, le lecteur demeurait insatisfait. Pourquoi tel film a reçu une seule étoile tandis qu’un autre se voyait attribuer quatre ? Qu’est-ce qui justifie cet acte ? Si on est bien d’accord sur le fait que certaines étoiles brillent dans le ciel plus que d’autres et que même certaines sont filantes, on ne chercherait plus à comprendre cette soi-disant injustice. L’agenda essaie actuellement de procurer un minimum d’informations qui inciteraient (ou n’inciteraient pas) le cinéphile à fréquenter les salles obscures. Les mentions que le critique (averti quand même, n’en déplaise à certains) donne ne sont que son propre jugement et n’engagent que lui. C’est un regard de plus, étayé par un certain background qu’il jette sur les œuvres de cinéma. Qui l’aime, le suive. Mais comme l’auteur de l’agenda (qui porte une double casquette, puisqu’il est lui aussi l’auteur de la rubrique Cinéma, à la page 10 du journal tous les jeudis, jour de la sortie des films en salle) apporte dans cette page un supplément d’informations et sélectionne les films à voir ; ce même auteur voudrait que la page soit interactive. Il serait intéressant donc pour les lecteurs d’envoyer leurs propres critiques de films (vous avez ou vous n’avez pas aimé et surtout pour quelles raisons). Nous en retiendrons les plus intéressantes et les plus enrichissantes. Et, cette fois, il n’y aura pas que des étoiles, mais du soleil dans la page.
Non, ce n’est pas le nouvel opus de Georges Lucas ni même un autre film de science-fiction, mais bien une autre bataille qui fait rage, non pas galactique cette fois, mais dirait-on… stellaire.
Depuis que le journal s’est doté d’une nouvelle maquette, la section Cinéma de l’agenda journalier s’est vu d’abord amputer de ses étoiles. Mea culpa. Mea culpa. La...